-
- Georgia
Santangelo
-
- LA RÊVE
PÉTRIFIÉ DE C.-N. LEDOUX
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-
- 1. Impianto industriale che
esiste tuttora, e che, svuotato, purtroppo, di tutti gli strumenti
tecnici di produzione del sale (bâtiment de graduation,
étuves, poêles, tuyaux, ecc.), ospita al suo
interno l'Institut C.-N. Ledoux che gestisce il monumento,
organizzando i seminari e le mostre tematiche all'interno della
Salina, un museo interamente dedicato all'opera ed ai progetti del
nostro architetto e una delle più fornite librerie per
quanto attiene alla storia dell'architettura.
- 2. Chaux non è la sola
agglomerazione elaborata da Ledoux, dato che abbiamo qualche
progetto riguardante un nuovo villaggio di Mauperthuis, e forse
anche per Chauvigny nel Poitou. Delille, l'amico letterato di
Ledoux, commentava in questo modo i progetti del nostro
architetto: "Il ne cessa de perfectionner les plans d'une ville
imaginaire où se seraient trouvés réunis et
placés dans les rapports les plus convenables tous les
monuments destinés à l'utilité et aux
plaisirs des habitants, temples, palais, académies,
manufactures, théâtres, bains publics, etc...
C'était une véritable utopie d'Architecture et ce
travail aurait dû être destiné à la
République de Platon. Il n'eût fallu pour
l'exécuter que plusieurs milliards et quelques
siècles de paix avec un zèle toujours soutenu de
génération en génération".
Archives Nationales, T 163162.
- 3. Rabreau D., "Architecture
et art urbain", in AA. VV., L'Europe à la fin du XVIII
siècle (vers 1780-1802), Ed. Sedes, Paris, 1985, p.
436.
- 4. In situ o altrove,
come per il Teatro di Besançon, edificio realizzato, o la
Maison des Gardes Agricoles, inizialmente previsto per il
giardino di Mauperthuis.
- 5. Baczko B.,
Lumières de l'utopie, Ed. Payot, Paris, 1978, p.
355.
- 6. Ibid., p. 360.
- 7. Rabreau D., op.
cit., p. 436.
- 8. Non a caso, infatti il
titolo L'Architecture considérée sous le rapport
de l'art, des murs et de la législation è
l'essenza stessa dell'architettura dei Lumi; a questo proposito
citiamo le parole di Kersaint: "si j'avais à parler
à des hommes pris au hasard et qu'il fallut instruire, je
m'arrêterais avec plus de détails sur l'importance
des monuments publics, sur leur rapport avec les murs et la
législation..." (de Kersaint A.-G., Discours sur les
monuments publics..., prononcé le 15-12-1791, Paris,
1792, p. 11).
- 9. Ozouf M., "Architecture et
urbanisme, l'image de la ville chez C.N. Ledoux", in
L'école de la France: essais sur la Révolution,
l'utopie et l'enseignement, Ed. Gallimard, Paris, 1984, p.
297.
- 10. Baczko B., op. cit., p.
359.
- 11. Cf. Mona Ozouf,
"Architecture et urbanisme: l'image de la ville chez C.N. Ledoux",
cit., il cui sottotitolo è: Lecture d'un texte
illisible.
- 12. Utilizziamo questo termine
pur essendo coscienti della sua inadeguatezza a rendere conto di
tutto quel panorama artistico che si sviluppò letteralmente
a cavallo della Rivoluzione francese. Come accadde in campo
politico, la rivoluzione in architettura non fu un tutto omogeneo,
ma si ebbero fasi successive e correnti diverse e un solo termine,
architecture révolutionnaire, non riesce a
caratterizzare la varietà artistica del periodo. Con il
termine si indica comunque convenzionalmente l'insieme omogeneo
dei progetti di edifici e monumenti elaborati al servizio della
Rivoluzione politica, "eretti", sulla carta, in suo onore, per
celebrarne le virtù, ma che non vennero mai realizzati. La
Rivoluzione fu un'incredibile fucina di idee architettoniche
nuove, ma non costruì niente: nella Préface
della sua Histoire de la Révolution, del 1847,
Michelet asseriva: "Le Champ-de-Mars, voilà le seulmonument
qu'a laissé la Révolution... L'Empire a sa
colonne... la royauté a son Louvre, ses Invalides; la
féodale Eglise de 1200 trône encore à
Notre-Dame; [...] Et la Révolution a pour
monument... le vide...". Esemplare per rilevare l'inadeguatezza e
i limiti di una tale definizione generica, fourre-tout, che
dovrebbe indicare appunto l'architettura porte-parole dei nuovi
valori, è un progetto particolare che, pur rientrando dal
punto di vista della datazione negli anni rivoluzionari (risale al
1790), è però eterogeneo rispetto al filone
artistico prevalente all'epoca: si tratta infatti di un projet
de monument à ériger pour le roi, di
Varenne e Janinet. Esso rappresentava, in controtendenza anche
rispetto agli avvenimenti storici, «Henri IV aux
côtés de Louis XVI, sur le haut socle du monument; la
légende de la gravure de Moreau et Janinet nous apprend
que, tourné vers Louis XVI encore dans l'exercice de ses
fonctions royales, Henri IV s'exclame: "Mon fils, le bonheur des
Peuples fait celui des Rois", ce à quoi Louis
répond: "Mon Peuple et moi nous ne sommes qu'un"»
(Oechslin W., "L'Architecture révolutionnaire: idéal
et mythe", in Les architectes de la liberté,
1789-1799, Ecole Nationale des Beaux-Arts, Paris, 1989, p.
351).
- 13. Tafuri M., "Simbolo e
ideologia nell'architettura dell'Illuminismo", in
Comunità, nov-dic. 1964, nn. 124-125, p.
78.
- 14. Saint Girons B.,
Esthétiques du XVIII siècle, le modèle
français, dictionnaire des sources, Ed. Sers, Paris,
1990, p. 529.
- 15. Ibid. Anche secondo
Ledoux "l'Architecture est un Art qui exige
l'universalité des connaissances" (De l'arhitecture
considérée sous le rapport de l'art, des murs
et de la législation, par C.xN. Ledoux, I tome, de
l'Imprimerie de H.-L. Perronneau, Paris, 1804, p. 8. Da questo
punto in avanti l'opera sarà citata come
Architecture).
- 16. Blondel J.-F., Discours
sur la nécessité de l'étude de
l'Architecture, Jombert, Paris, 1754.
- 17. Architecture, p.
17.
- 18.
Ibid.
- 19.
Ibid.
- 20. Gotico allora era sinonimo
di tortuoso, ad immagine dei chemins des ânes,
secondo un'espressione di Le Corbusier. "L'homme marche droit
parce qu'il a un but; il sait où il va. [...]
L'âne zigzague, muse un peu, cervelle brûlée et
distrait, zigzague pour éviter les gros cailloux, pour
esquiver la pente, pour rechercher l'ombre. [...]
L'âne a tracé toutes les villes du continent, Paris
aussi, malheureusement. Dans les terres que les populations
envahissent peu à peu, le charroi passait cahin-caha au
gré des bosses et des creux, des cailloux et de la tourbe;
un ruisseau était un grand obstacle. Ainsi sont nés
les chemins et les routes. A la croisée des routes, au bord
de l'eau, on a construit les premières huttes, les
premières maisons, les premiers bourgs; les maisons se sont
rangées au long des routes, au long des chemins des
ânes. On a mis autour un mur fortifié, et un
hôtel de ville à l'intérieur. On a
légiféré, travaillé, vécu et on
a respecté le chemin des ânes. Cinq siècles
plus tard, on a construit une seconde enceinte plus grande et cinq
siècles après une troisième enceinte plus
grande encore.
- Par où entrait le
chemin des ânes, on a fait les portes de la ville et mis les
employés d'octroi. Le bourg est une grande capitale. Paris,
Rome, Stamboul, sont bâtis sur le chemin des ânes". Le
Corbusier, L'urbanisme, Ed. Flammarion, Paris, 1994, pp.
5-7.
- 21. Ibid., p. 249 e
segg. "Organiser c'est faire de la géométrie; faire
de la géométrie dans la nature ou dans le magma
«naturellement» issu du groupement des hommes en
agglomérations urbaines, c'est faire de la chirurgie".
Ibid., p. 260.
- 22. Vicino a
Nancy.
- 23. Architecture, p.
36.
- 24. Ibid., p.
69.
- 25. Ibid., p.
36.
- 26. Ibid., p.
54.
- 27.
Ibid.
- 28.
Ibid.
- 29. Ibid., p.
55.
- 30.
Ibid.
- 31.
Ibid.
- 32.
Ibid.
- 33.
Ibid.
- 34. Ibid. A queste
descrizioni dai toni apparentemente apocalittici, fa pendant la
descrizione della Cité di Restiff de la Bretonne:
"J'allais ensuite à la pointe, appelée le
Terrain, en passant par la barbare et gothique Cité, qui
est plutôt un inextricable labyrinthe qu'une ville.
Figurez-vous des rues philadelphes, où 2 personnes qui se
rencontrent ne peuvent passer qu'en s'embrassant, tortueuses,
malpropres; des maisons en pierre de taille,
élévées de 4 étages. On y
étouffe; l'air n'y circule pas; on croit se promener au
fond d'un puits". Un po' più oltre: "Il est vrai que
l'odieuse Cité doit avoir l'air d'un cachot; le tourniquet,
un geôlier...". Restiff de la Bretonne, N.-E., Les
Nuits de Paris, Ed. Gallimard Folio, Paris, 1987, pp. 218-219.
- 35. Architecture, p.
70.
- 36. Ibid., p.
55.
- 37.
Ibid.
- 38. Ibid. Nella Cent
quatre-vingt-sixième Nuit, Restiff de la Bretonne
informa che, in seguito alle numerose ordinanze emanate nel XVIII
secolo per regolamentare i bagni nella Senna, furono installati
dei bains et établissements particuliers: a Parigi,
dunque, si doveva persino pagare una somma di denaro per potersi
bagnare nel fiume. Cf. Restiff de la Bretonne, N.-E., op.
cit., p. 216 e segg.
- 39. Architecture, p.
55.
- 40. Ibid., p.
54.
- 41. Ibid., p.
55.
- 42. Ibid., p.
54.
- 43. Ibid., p.
55.
- 44.
Ibid.
- 45. Ibid., p.
70.
- 46. Rabreau D., op.
cit., p. 447.
- 47. Chombart de Lauwe, P.,
Des hommes et des villes, Paris, 1965, p. 209, cit. in B.
Baczko, op. cit.
- 48. Picon A., Architectes
et ingénieurs au siècle de Lumières, Ed.
Parenthèses, Marseille, 1988, p. 171.
- 49. Ledoux pensava soprattutto
di abbellire le banlieues, "en leur offrant une couronne
monumentale", come riporta Pierre Pinon, nell'articolo "Ledoux, du
mur à la Force", in L'architecture aujourd'hui,
n°. 261, 1989, p. 37. Egli voleva innanzitutto togliere ai
viaggiatori quella sgradevole impressione di una Parigi che
"à la périphérie ressemble à un
village", impressione avuta anche da Leopold Mozart di
passaggio nella capitale nel 1763 ("Lettre à L. Hagenauer,
8 décembre 1763", in W.-A. Mozart, Correspondance,
I, 1756-1776, Paris, 1986, p. 60). Ma "une revue des
réactions aux Barrières de Ledoux pourrait
être faite" (Gallet M., Architecture de Ledoux,
inédits pour un tome III, Ed. du Demicercle, Paris,
1991, p. 47): costose, erano il simbolo visibile degli abusi della
Ferme Générale, gli odiati appaltatori della
gabelle, la tassa sul sale, e "tout le monde murmure contre la
bizarre entreprise de mettre Paris dans un cloître",
riferì La Correspondance secrète a partire
dal 1785; una brochure del 1787 insinuava il dubbio che le
barriere costituissero un attentato all'igiene, "en
empêchant l'air pur de circuler dans la ville". Non
solo, Louis-Sébastien Mercier, nel suo Le Tableau de
Paris 1788, si esprimeva così: "Ah! M. Ledoux, vous
êtes un terrible architecte!" e commentava: "L'Architecture
de ces barrières est carrée, angulaire; elle a dans
son style quelque chose d'âpre et de menaçant ";
lo scrittore inglese W. Beckford, verso il 1788, parlava della
cinta come un "cordon de palais douaniers que leur
caractère massif et sépulcral fait ressembler aux
entrées d'une nécropole...". Lo stesso Victor
Hugo, nella Guerre aux démolisseurs (1825-1832),
paragonava la cinta daziaria a "un ossuto scheletro di un invalido
emaciato", domandandosi se la degenerazione della società
fosse ad un livello tale "di abiezione da dover ammirare le
barrières di Parigi". La polemica non era ancora sedata nel
1859, quando il barone Haussmann, nel quadro di un ampliamento di
Parigi, procedette alla demolizione delle ultime postazioni
sopravvissute all'ira dei parigini.
- 50. Era infatti diffuso
l'adagio le mur murant Paris rend Paris
murmurant.
- 51. Bordeaux fu ampiamente
abbellita: fu dotata di una place royale (1730-1755),
mentre i remparts moyenageux, le petites ruelles
strette e dal percorso sinuoso e i vecchi edifici furono
mascherati, dal lato della Gironde, da una facciata moderna,
compatta, uniforme che letteralmente si sovrapponeva al vecchio
intrico gotico di strade e palazzi. Per lungo tempo si
trattò solo di un embellissement di facciata, in
quanto dietro la facciata non c'erano in realtà edifici, ma
la stessa serviva semplicemente a fornire al viaggiatore e al
commerciante che arrivava nel porto l'immagine di una città
viva, moderna e all'avanguardia, degna della fama internazionale.
La città fu dotata in seguito anche di vialoni aperti, di
giardini (1756) grazie all'intendant Tourny e di un
magnifico teatro, coevo di quello di Ledoux a
Besançon.
- 52. Picon A., op. cit.,
p. 175.
- 53. Le Corbusier,
L'urbanisme, cit., p. 249.
- 54. Picon A., op. cit.,
p. 175.
- 55. Il suo trattato più
importante, l'Essai sur l'architecture, pubblicato nel
1753, fu tradotto in inglese e in tedesco rispettivamente nel 1755
e nel 1756; anche l'Algarotti e il Milizia, due teorici italiani,
si ispirarono a lui. Rispettoso del sistema dell'architettura
gotica, egli raccomandava un'ammirazione senza limiti per
l'elegante semplicità e il vigore espressivo
dell'architettura greca che cominciava allora ad essere
riscoperta. Il sistema degli ordini è il modello assoluto
di cui sono affermate con convinzione le origini naturali: "les
poteaux et les poutres de la cabane rustique vitruvienne" (Rabreau
D., op. cit., p. 440). Con uno spirito vicino a quello
degli enciclopedisti, Laugier professava "une sorte de
déontologie de la théorie architecturale mise au
service du progrès de la société."
(Ibid.).
- 56. Patte P.,
Mémoires sur les objets les plus importants de
l'Architecture, Paris, 1769, p. 11
- 57. Ibid., p.
53.
- 58. Picon A., op. cit.,
p. 185.
- 59. Ibid., p. 185.
- 60. Ibid., p.
188.
- 61. Tournier R., "L'ancienne
saline royale d'Arc et Senans et le projet de la cité
idéale de Chaux", in La nouvelle revue
franc-comtoise, Besançon, n°. 2, avril 1954, p.
80.
- 62. Laugier M.-A., Essai
sur l'Architecture, Paris, 1753, p. 209.
- 63. Ibid. e Patte P.,
Monuments érigés en France à la gloire de
Louis XV, Paris, 1765, p. 213.
- 64. Baczko B., op.
cit., p. 308. Verso la metà del secolo XVIII Parigi
diventò un tema letterario di successo. Se Luigi XIV aveva
infatti spostato il centro da Parigi a Versailles, il XVIII secolo
segna la revanche di Parigi, e il suo sviluppo e i suoi
cambiamenti diventano l'oggetto di riflessioni e rêveries. I
primi Essais historiques sur Paris, di Poullain de
Saint-Foix (1698-1776), iniziano ad essere pubblicati intorno al
1754 e continueranno ad essere rivisti e corretti sino
all'edizione postuma del 1777. Dal 1781 al 1783 Ducoudray imita, e
non è il solo, gli Essais, e pubblica i Nouveaux
essais historiques sur Paris. Un nipote di Saint-Foix,
Auguste, nel 1805 pubblica gli Essais historiques sur Paris
pour faire suite aux Essais de M. Poullain de Saint-Foix.
Caratteristica comune a queste opere è la rivendicazione
dell'appartenenza al filone delle opere storiche, che
ritracciano la storia ufficiale della capitale. I luoghi sono
rievocati non per se stessi, ma in quanto scenari dei diversi
avvenimenti ed eventi storici, appunto. Comunque, dai primi
essais si nota via via uno scivolamento dal passato al
presente, dall'histoire événementielle alla
storia quotidiana, vissuta dai parigini. Mercier inizia a
pubblicare il suo Tableau de Paris nel 1781 (ne
pubblicherà, da questa data al 1788 almeno 12 volumi), e
dà il via a un nuovo filone letterario, a una nuova
mythologie urbaine (Cf. le notices sur la
rédaction des Nuits, dans Les Nuits de Paris, cit.),
agli scritti sulla physiologie morale di Parigi.
Mercier è poco interessato alla città ufficiale, e
si concentra invece sui costumi, lo stato d'animo dei suoi
abitanti, nel loro continuo divenire, sui loro desideri e sulle
loro paure. Al punto di vista unico dell'ordine monarchico,
organizzato attorno alle grandi piazze reali, si sostituisce nei
racconti una molteplicità di punti di vista su una
città moderna, in movimento, complessa, frammentata e
pericolosa.
- 65. Patte P.,
Mémoires sur les objets les plus importants de
l'Architecture, cit., Paris, 1769.
- 66. Picon A., op. cit.,
p. 171.
- 67. Patte P.,
Mémoires sur les objets les plus importants de
l'Architecture, cit., pp. 5-6.
- 68.
Ibid.
- 69. Patte P.,
Mémoires sur les objets les plus importants de
l'Architecture, cit., p. 5.
- 70. Ibid., p.
3.
- 71. Le crisi dovute a cattivi
raccolti spingevano molti ruraux a emigrare, ma, una volta
arrivati nelle città, la vita che li attendeva spesso non
era quella sperata: se riuscivano ad inserirsi nel tessuto
lavorativo ed espletavano quelle funzioni umili e faticose di cui
la città non poteva fare a meno, gli immigrati venivano
tollerati; se, invece, non avevano un'occupazione, erano
considerati pericolosi, dediti al libertinage, come risulta
anche da un editto emanato nel 1657 da Luigi XIV (citato in M.
Foucault, Storia della follia nell'età classica,
Rizzoli, Milano, 1978, p. 608-611). Si tentava di porre rimedio
alla loro crescita esponenziale, dovuta all'idea diffusa di
trovare nella grande città una sussistenza più
facile, attraverso perentori editti di espulsione, nei quali si
intimava, come era il caso per uno di quelli emanati a Parigi, nel
1777, di "tornare nel luogo d'origine entro quindici giorni o di
trovarsi un lavoro". (Guerci L., L'Europa del Settecento,
Ed. Utet, Torino, 1988, p. 26). Una serie di provvedimenti volti a
disciplinare e a limitare la crescita di Parigi vennero inoltre
emanati nel 1724, 1726, 1728, 1765, ma, inadatti a risolvere le
cause strutturali della crescita, risultarono inefficaci: la
città funzionava come una gigantesca "pompe aspirante et
foulante" (AA. VV., Histoire de la France urbaine-La ville
classique, sous la direction de G. Duby, Ed. du Seuil, Paris,
1981, p. 301). In particolare Parigi aveva una popolazione di
550.000-600.000 abitanti nel 1789, ed era la seconda città
europea dopo Londra. (Guerci L., op. cit., p. 28).
- 72. Secondo le cifre
sicuramente esorbitanti di Louis-Sébastien Mercier, le
prostituées o courtisanes, nella seconda metà
del XVIII secolo, sarebbero state, nella sola Parigi, 40.000, pari
al 7% della popolazione. A parte l'attendibilità dei dati,
che probabilmente includevano anche delle filles
"légères", le quantità comunque
spiegano l'immensità del flagello sociale che
continuò a crescere durante tutto il secolo. (Cf. AA. VV.,
Histoire de la France urbaine-La ville classique, cit., p.
301).
- 73. Le famiglie numerose degli
strati inferiori della popolazione spesso non erano in grado di
badare al sostentamento dei neonati che venivano abbandonati, in
una percentuale che arrivò a toccare la soglia del 35% nel
1770, (AA. VV., Histoire de la France urbaine-La ville
classique, cit., p. 327), in strutture pubbliche o
caritatevoli, dalle condizioni igieniche a loro volta pessime. I
bambini vi arrivavano già in un tale stato di denutrizione
e di sfinimento, che raramente riuscivano a sopravvivere: tra il
1773 e il 1777, i 4/5 dei bambini abbandonati all'Hospice des
enfants trouvés di Parigi, morirono nel periodo di un
anno. (Ibid.).
- 74. Guerci L., op.
cit., p. 28.
- 75.
Ibid.
- 76. All'epoca le persone
agiate risiedevano ai piani inferiori degli
stabili.
- 77. E quando anche, verso la
metà del XVIII secolo, le amministrazioni cittadine si
adoperarono per ammodernare i vecchi edifici o radere al suolo e
ricostruire dei nuovi, presi dalla fureur de la bâtisse e
de l'embellissement, molti poveri rimasero addirittura senza
alloggio. (Cf. AA. VV., Histoire de la France urbaine-La ville
classique, cit., p. 327).
- 78. Nella novella del
Decamerone dal titolo: Andreuccio da Perugia, venuto
a Napoli a comperar cavalli, in una notte da tre gravi accidenti
soprapreso, da tutti scampato con un rubino si torna a casa
sua.
- 79. Nella 31e Nuit Restiff
racconta di questi restes d'anatomie: "En m'en revenant, je
passai par la rue Saint-Martin, la rue des Gesvres, le pont au
Change, et le pont Saint-Michel. Au coin de la rue Huchette,
à l'endroit nommé le Cagnard, je vis fuir des jeunes
gens, qui remontèrent la rue de la Harpe. J'allai voir ce
qu'ils avaient fait au Cagnard; et je trouvai... les membres d'un
enfant ouvert. Je frémis... Le lendemain matin, je vins
chez l'apothicaire du coin, pour l'informer de ce que j'avais
trouvé sous ses fenêtres. Il se mit à rire. Ce
sont des restes d'anatomie. On refuse des cadavres aux jeunes
chirurgiens, et ils sont obligés d'en voler, ou d'en
acheter: lorsqu'ils les ont disséqués, ils ne savent
plus qu'en faire. Quatre se chargent du corps divisé; deux
précèdent, et deux suivent, pour avertir: on a soin
de tenir ouvertes, sur la route, quelques allées, dont on
sait le secret, et l'on s'y réfugie en cas de danger. Enfin
l'on arrive ici pour y jeter les débris, et l'on se
sauve "... (Restiff de la Bretonne, N.-E, Les Nuits de Paris,
cit., p. 67).
- 80. Ancora a questo proposito
vediamo Louis-Sébastien Mercier, nel suo Tableau de
Paris: "Si un ancien revenait au monde de quel
étonnement ne serait-il pas frappé dans
l'amphithéâtre de l'académie royale qu'aucune
loi n'autorise à avoir des cadavres [...].
L'Hôtel-Dieu refuse de livrer des cadavres; on a recours
à l'adresse; on les vole à Clamart, ou bien on les
achète de la Salpêtrière et de Bicêtre."
(T. I, p. 260-261). "[...] Quand le corps a
été haché, disséqué,
l'anatomiste ne sait plus comment le replacer au lieu où il
l'a pris: il en jette et en disperse les morceaux où il
peut, soit dans la rivière, soit dans les égouts,
soit dans les latrines [...] et il n'est pas rare de
trouver dans des tas de fumiers, des débris de
l'espèce humaine" (Ibid., p. 259). "Il faut des cadavres
aux jeunes chirurgiens; mais comme un cadavre coûte un louis
d'or, ils les volent: ils se mettront quatre, prendront un fiacre,
escaladeront un cimetière. L'un combat le chien qui garde
les morts; l'autre avec une échelle descend dans la fosse,
le troisième est à cheval sur le mur, jette le
cadavre; le quatrième le ramasse et le met dans le
fiacre" (T. IX, p. 196-197).
- 81. Cf. Guerci L., op.
cit.
- 82. AA. VV., Histoire de la
France urbaine-La ville classique, cit., p.
341.
- 83. Summerson J.,
L'Architecture au XVIII siècle, Ed. Thames and
Hudson, S.A.R.L., Paris, 1993, p. 127. Bisogna ricordare che "au
siècle des Lumières, l'hôpital est en
général destiné aux malades pauvres. Les
classes aisées ont des domestiques à leur service et
des médecins pour les soigner. Les pauvres, eux,
dépendent entièrement des uvres de
charité". Ibid.
- 84. L'opera di Joseph
Priestley (1733-1804) del 1772, dal titolo Observations on
different kinds of air, e la scoperta dell'ossigeno di
Lavoisier, inauguravano una nuova epoca per la chimica pneumatica:
per i medici la scoperta che l'aria fosse formata da gas con
caratteristiche diverse apriva promettenti orizzonti nello studio
della salubrità dell'aria e dei meccanismi della
respirazione animale. L'individuazione del fenomeno di saturazione
dell'aria atmosferica con anidride carbonica aveva dato vita, a
partire dal 1774 a numerosi studi sulla salubrità,
attraverso i quali si cercava di individuare con la massima
precisione possibile il grado di salubrità, appunto, degli
ambienti chiusi; Marsilio Landriani (1751-1815), pubblicava nel
1775 Ricerche fisiche intorno alla salubrità
dell'aria, in cui presentava al pubblico un nuovo strumento,
l'eudiometro, che permetteva di far reagire il biossido d'azoto
con l'aria atmosferica, da cui assorbiva l'ossigeno. Quanto
maggiore era la quantità di ossigeno assorbita durante
l'esperimento, tanto più salubre era l'aria atmosferica. Si
sperava inoltre di poter utilizzare il nuovo strumento per
prevedere l'arrivo di epidemie e malattie contagiose portate
dall'aria o dai venti. Tra il 1780 e il 1785 Lavoisier e i membri
più prestigiosi dell'Académie des Sciences
vennero sollecitati a redigere un dettagliato rapporto sulle
condizioni delle prigioni e degli ospedali parigini e a formulare
proposte di riforma. Lavoisier specificava che era di loro
competenza: "tutto ciò che concerne la circolazione e il
ricambio dell'aria, i mezzi per opporsi alla putrefazione o per
prevenirne gli effetti, insomma, tutto ciò che riguarda la
salubrità dei luoghi e la salute di quelli che li devono
abitare". Ma sentiamo quali erano le condizioni delle carceri
parigine: "Le tre prigioni non hanno insieme che 522 tese e
mezzo di superficie; contengono in genere in totale sei-ottocento
persone e talvolta mille: se entriamo nei dettagli della loro
distribuzione, offrono il quadro che segue: cortili estremamante
piccoli, edifici molto alti che si oppongono alla circolazione
dell'aria, camere davvero piccole e molto basse, dove si è
radunato un numero troppo elevato di prigionieri, camere talmente
vicine che l'aria e la luce non hanno facile accesso e che
attingono le une dalle altre un'aria già infetta e
già viziata; aperture estremamente strette e mal piazzate,
giacigli dove i prigionieri sono piuttosto ammucchiati che
distesi; una paglia sovente putrida che funge da letto; latrine e
condotte d'urina che attraversano la maggior parte delle celle;
chiaviche da cui si spandono nelle abitazioni vapori infetti;
segrete dove l'acqua filtra attraverso le volte, dove gli abiti
dei prigionieri marciscono sul loro corpo, dove essi fanno tutti i
loro bisogni; il suolo e il terreno inondati quasi dappertutto da
un'acqua corrotta, perché spesso non può scorrere
via; da tutte le parti fango, pidocchi e corruzione. Questo
è lo spettacolo orribile che offrono le prigioni, che
è giocoforza distruggere e riformare". (cf. I grandi
della scienza; Lavoisier, supplemento a Le Scienze,
anno 1, n°. 3, maggio 1998). Come rimedi più urgenti
furono proposte almeno la disinfestazione delle celle, e la loro
ventilazione costante; le ricerche eudiometriche, infatti,
rilevavano che la causa maggiore del diffondersi di epidemie tra i
prigionieri era proprio da ricercarsi nella stagnazione dell'aria
putrida e nociva. È da notare qui che alle considerazioni
lucide sullo stato deplorevole si uniscono la denuncia politica e
la focalizzazione della necessità di un programma di
riforme sociali che doveva necessariamente essere indirizzato
dalla scienza: le ricerche eudiometriche venivano per la prima
volta messe in diretta relazione con gli elementi sociali e le
situazioni ambientali che contribuivano ad alterare la
salubrità dell'aria.
- 85. AA. VV., Histoire de la
France urbaine-La ville classique, cit., p.
307.
- 86. Ibid., p.
344.
- 87. Inoltre la direzione
intrapresa dalle lumières médicales non fu
sempre quella giusta: accanitisi contro l'air, considerata la
causa di tutte le malattie, conformemente ai principi della
medicina detta aériste, i medici non si
interessarono che tardivamente al contagio attraverso le acque,
veicolo di tifo e, nel XIX secolo, di colera.
- 88. Architecture, p.
56.
- 89.
Ibid.
- 90.
Ibid.
- 91.
Ibid.
- 92. Choay F., L'urbanisme,
utopies et réalités, Ed. Du Seuil, Paris, 1965.
(Réed. Coll. "Points").
- 93. AA. VV., Dictionnaire
de l'aménagement, publié sans la direction de P.
Merlin et F. Choay, Ed. Puf, Paris, 1988, p. 534, ad vocem
Pré-urbanisme.
- 94.
Ibid.
- 95.
Ibid.
- 96. Vidler A., The Theatre
of Production. Claude-Nicolas Ledoux and the Architecture of
social Reform, citato in A. Picon, op. cit., p.
189.
- 97. AA. VV., Dictionnaire
de l'aménagement, cit., p. 534.
- 98.
Ibid.
- 99.
Ibid.
- 100. R. Trousson (in
Voyages au pays de nulle part. Histoire littéraire de la
pensée utopique, Ed. de l'université de
Bruxelles, 1975), e B. Backzo (in Lumières de
l'utopie, cit.), con qualche lieve differenza individuano le
seguenti caratteristiche: la presenza di una città
alternativa, con una descrizione che restituisca la
complessità sociale dell'esistenza, retta da principi
politici, economici e morali, la presenza di un viaggio, di un
tempo, di uno spazio e di un ordine assoluti. Questo per quanto
riguarda la forma del récit utopique, ma per il
contenuto, cioè la morfologia della città, gli
elementi ricorrenti sono i seguenti: l'insularismo, nel senso
più lato del termine, cioè una "géographie
parallèle, qui se surimpose au réel, et le double,
sans être le réel" (Trousson R., op. cit., p.
272); la presenza di mura, di una pianta regolare, con vie dritte
ed ampie, acqua potabile distribuita attraverso un sistema
idraulico, l'aria salubre, la luce abbondante, la presenza di aree
verdi e di un luogo aggregante per le feste pubbliche, la
sicurezza degli edifici contro gli incendi, la presenza di
conforts, quali latrine e portici per ripararsi in caso di
pioggia, l'ordine, la circolazione fluida, la magnificenza dei
palazzi, la presenza di elementi di progresso tecnico, e il
particolare regime politico: la monarchia
illuminata.
- 101. Cf. la parte riguardante
le ambiguità dell'utopia.
- 102. Picon A., op.
cit., p. 273
- 103. Definizione proposta da
P. Foulquié e R. Saint-Jean nel Dictionnaire de la
langue philosophique, Puf, Paris, 1969, p.
747.
- 104. Picon A., op.
cit., p. 273
- 105. Ruyer R., L'utopie et
les utopies, Puf, Paris, 1950, p. 20.
- 106. Jean G., Voyages en
Utopie, Ed. Gallimard, coll. Découvertes, Paris, 1994,
p. 13.
- 107 AA. VV., Dictionnaire
de l'aménagement, cit., p. 534, ad vocem
Utopie.
- 108.
Ibid.
- 109.
Ibid.
- 110. Basta ricordare qualche
autore: Doni e il suo Mondi celesti..., del 1552; Stiblin
con il De Eudemonensium republica, del 1555; Andreae, con
Rei publicae Christianopolitanae descriptio, del 1619,
Campanella con la sua Civitas solis, del 1623, e ancora
Cabet con i suoi Voyages... en Icarie, del 1840, o Morris
con News from Nowhere, del 1891, o la più recente
A modern Utopia, di Wells del 1905. Senza contare le
innumerevoli forme derivate tra le quali possiamo citare Nova
Atlantis di Bacon, del 1627, Histoire comique des
états... de la lune et du soleil di Cyrano de Bergerac,
del 1657, o ancora Les aventures de
Télémaque, di Fénelon, del 1699; o The
man in the moon, del 1648, di Godwin, o ancora Le code de la
nature di Morelly, del 1755, o An Address... di Owen, del
1816, o Le nouveau monde industriel et sociétaire,
di Fourier del 1829, e per finire, Erehwon or Over the
Range di S. Butler del 1872 e Brave new world, di
Huxley, del 1923. Cf. Ibid.
- 111. Jean G., op. cit.,
p. 136.
- 112. Bonello Y-H., La
ville, Ed. Puf, Paris, 1996, p. 119.
- 113.
Ibid.
- 114. Jean G., op. cit.,
p. 136.
- 115. AA. VV., Dictionnaire
de l'aménagement, cit., p. 780, ad vocem
Utopie.
- 116. Klein R., "L'urbanisme
politique, de Filarete à Valentin Andrea" in Les utopies
de la Renaissance, p. 211, citato in Saboya M., Claude Nicolas
Ledoux, urbaniste et architecte, mémoire de
maîtrise, Bibliothèque Universitaire de Bordeaux
III, 1969, p. 57.
- 117. AA. VV., Dictionnaire
de l'aménagement, cit., p. 780, ad vocem
Utopie.
- 118. Bonello Y-H., op.
cit., p. 120.
- 119. Ragon M., L'homme et
les villes, Ed. A. Michel, Paris, 1995, p.
163.
- 120. Architecture, p.
35.
- 121. Ibid., p.
145.
- 122. Jouffre V.-N., La
Saline royale d'Arc et Senans, Fondation C. N. Ledoux, Arc et
Senans, 1988, p. 22.
- 123.
Ibid.
- 124. L'incendio aveva
catalizzato la coscienza collettiva che "s'éveille alors,
et administrateurs et architectes se penchent sur la question des
hôpitaux parisiens. Objet d'importantes controverses pendant
les seize années qui suivront, elle jouera un rôle
primordial dans le Siècle des Lumières". (Summerson
J., L'Architecture au XVIII siècle, cit., p.
127).
- 125.
Ibid.
- 126. Vidler A., C.N.
Ledoux, Electa, Milano, 1994, p. 93.
- 127. Architecture, p.
67.
- 128. Vidler parla a tal
proposito di "una vera forma tipo, chiusa in se stessa,
indifferente a qualsiasi localizzazione particolare, e unificante
in un unico diagramma tutti i bisogni della comunità". "In
questo senso", aggiunge Vidler, Ledoux "anticipava, di ben 45
anni, in modo sorprendente, i 'parallelogrammi ideali' di Robert
Owen". Vidler A., "Architettura, gestione, principi etici:
progetto di una comunità produttiva alla fine del XVIII
secolo", in Lotus International, n. 14, 1977, p.
6.
- 129. Tournier R., op.
cit., p. 80.
- 130. Bottero B., Progetto o
metodo, variazioni sul tema della Salina di C.N. Ledoux, Ed.
A. Guerini e Associati, Milano, 1988, p. 16.
- 131. Architecture, p.
69-70.
- 132. Ibid., p.
28-29.
- 133. Le città ideali
dell'epoca manierista erano a pianta quadrata, ma questa pianta si
ritrova ancora nelle diverse città d'utopia: ad esempio a
Severiade (Veiras, Histoire des Sévérambes,
peuples qui habitent une partie du troisième continent
communément appelé la terre Australe, contenant une
relation du gouvernement, de la religion et du langage de cette
nation inconnue jusqu'à présent, Amsterdam,
1677-79) e a Selenopoli (De Listonai , Villeneuve, Le voyageur
philosophique dans un pays inconnu aux habitants de la Terre,
Amsterdam, 1761).
- 134. Architecture, pp.
28-29.
- 135. Ibid., p.
68.
- 136. Ibid., p.
56.
- 137.
Ibid.
- 138. Ibid., p.
146.
- 139.
Ibid.
- 140. Ibid., p.
77.
- 141. Ibid., p.
56.
- 142. Secondo Marc Saboya, la
teoria ricordava la théorie des climats di
Montesquieu.
- 143. Architecture, p.
69.
- 144. Ibid., p.
67.
- 145. Ibid., p.
70.
- 146.
Ibid.
- 147. Ozouf M., op.
cit., p. 291.
- 148. Architecture, p.
205.
- 149. Ibid., p.
144.
- 150. Ibid., p.
64.
- 151. Ibid., p.
139.
- 152. Ibid., p.
183.
- 153. Ibid., p.
214.
- 154. Ibid., p. 192.
D'altra parte il couronnement può essere letto anche
sotto un'altra luce, può avere un'altra funzione: esso si
lega all'idea dell'axis mundi che in architettura indica,
da tempo immemorabile, una salita o una discesa, e comunque sempre
un avvicinamento a qualche cosa. C. Norberg-Schulz (La
signification dans l'architecture occidentale, Ed. Mardaga,
Liège, 1977, p. 330) dice che la direzione verticale viene
considerata come la dimensione sacra dello spazio, ed è
"l'archétype du passage d'une région cosmique
à l'autre". In questo caso, dunque, possiamo rilevare che
tramite il couronnement gli edifici progettati da Ledoux si
avvicinano anche al cielo metaforicamente inteso, tendono al
modello assoluto della città perfetta, dell'Eden, della
terra promessa, e, allo stesso modo, per il fatto che si
allontanano da una determinata regione cosmica (quella terrestre),
escono anche dal tempo relativo della terra. Diventano archetipi
assoluti essi stessi e, come il loro creatore, diventano rivali
della città celeste.
- 155. Ozouf M., op.
cit., p. 313.
- 156.
Ibid.
- 157. Attraverso la creazione
di questi orti, Ledoux persegue due scopi distinti, ma altrettanto
utili: quello di procurare alimenti necessari alla salute,
e quello di tener occupato il tempo degli operai con sani
loisirs, ed allontanarli dai sinistri richiami delle
guinguettes di paese.
- 158. Citato in Baczko B.,
op. cit., p. 286. In quel caso la città teorizzata
si sarebbe chiamata Liberté.
- 159. Architecture, p.
92.
- 160. Ibid., p.
166.
- 161. Altrove, a proposito
della Bourse, Ledoux ritornerà sulla funzione dei
portici: quelli coperti mettono le discussioni "à l'abri
des caprices de l'air", mentre quelli aperti possono
"corriger les influences homicides de la saison
caniculaire". Ibid., p. 126.
- 162. Già Patte aveva
messo l'accento sulla necessità di installare "lieux
communs pour les besoins des passants" , in modo che "à
l'aide de ces établissements il s'ensuivrait que les
alentours de grands murs, et surtout des temples, dont on devrait
s'approcher avec respect, ne se trouveraient pas sans cesse
infectés d'excréments. Les cours des palais et des
hôtels, les porches des maisons particulières et
leurs paliers sont autant de réceptacles aux besoins des
passants" (Patte P., Mémoires sur les objets les plus
importants de l'Architecture, cit., p. 15).
- 163. Architecture, p.
48.
- 164.
Ibid.
- 165.
Ibid.
- 166.
Ibid.
- 167.
Ibid.
- 168. "Vous, qui faites
naître l'heureuse inspiration, prolongez la mienne;
accordez-moi encore quelques années pour embellir ce monde
intellectuel". Ibid., p. 197.
- 169. Pérouse de
Montclos, Boullée, Ed. Art et métier
graphique, Paris, 1969, p. 205.
- 170. "L'Architecture est
une affaire sociale et publique trop importante pour concerner, en
premier lieu, le particulier. Elle doit se mettre au service du
«bien général»". Cf. Bekeart G.,
Préface a Laugier M.-A., Essai et Observations sur
l'Architecture, réed. Intégrale, Ed. Mardaga,
Bruxelles, 1978, citato in Rabreau D., op. cit., p.
440.
- 171. Quatremère de
Quincy M., "Architecture", in Encyclopédie
Métodique, Paris, 1778, T. I., p. 100.
- 172. Architecture, p.
11.
- 173. Ibid., p.
210.
- 174. Ibid., p. 34.
"C'est par le tableau de ces compositions aussi variées
que nombreuses, toutes marquées au caractère qui
leur est propre, et qui, dans leur exécution offrent
l'analyse de tous les principes, que j'instruirai,
échaufferai, contiendrai l'artiste qui s'élance dans
la carrière de l'Architecture". Ibid., p.
3.
- 175. "Que de moyens l'art
vous offre! Jeunes artistes, enfants chéris d'Apollon;
voyez ce que peut une pensée, une heure, un jour de votre
temps: il n'y a pas d'événement qui puisse
enchaîner le génie; la volonté même du
Dieu suprême ne peut rien changer à la nature du bien
qu'il peut faire, puisqu'il n'est pas de son essence que le vice
obtienne des avantages sur la vertu. Travaillez, travaillez toute
votre vie pour obtenir ce jour, cette heure". Ibid., p.
155.
- 176. Baczko B., op.
cit., p. 247. Oggi sappiamo che l'arte, riflesso della
società, può in realtà servire scopi
"politici", morali ed educativi: basti solamente citare la
funzione di propaganda degli edifici che Albert Speer
costruì per le parate militari hitleriane o ancora, la
funzione dell'arte durante il socialismo o il fascismo o, per
giungere a tempi a noi più vicini, basti ricordare il
Libro delle guardie rosse di Mao-Tse-Tung in cui si legge:
"[...] dobbiamo fare in modo che la letteratura e l'arte
si integrino perfettamente nel meccanismo generale della
rivoluzione, diventino un'arma potente per unire ed educare il
popolo (corsivo mio) per colpire ed annientare il nemico, e
per aiutare il popolo a lottare contro il nemico con un cuore solo
e una sola volontà". (Ed. Feltrinelli, 1967, p. 190).
È da notare come l'architettura in particolare, tra le
altre arti, si presti ad essere manipolata e sia stata manipolata
per un certo fine: l'interesse di trasmettere dei valori
attraverso la costruzione di edifici si potrebbe forse spiegare
con l'immediata fruibilità e tangibilità
dell'oggetto artistico. Citeremo a questo proposito
Boullée: "l'architecture est un art par lequel les
besoins les plus importants de la vie sociale sont remplis".
Boullée E.-L., Architecture. Essai sur l'art, Paris, 1968,
pp. 32-33.
- 177. Gallet M.,
Architecture de Ledoux, cit., p. 42.
- 178. Nei testi del XVIII
secolo si parlava piuttosto di architecture symbolique, in
rapporto soprattutto alle teorie di Viel de Saint-Maux, che,
assimilando l'architettura ad un linguaggio universale e
simbolico, ha cercato di spiegare l'architettura antica,
leggendola come un message codé (Cf. Lettres sur
l'architecture des anciens et celles des modernes dans lesquelles
se trouve développé le génie symbolique qui
présida aux mouvements de l'Antiquité,
pubblicate tra il 1774 e il 1778). A quanto pare il primo ad
utilizzare il termine parlante fu Vaudoyer nel Magasin
Pittoresque, tome XX, décembre 1852, p.
388.
- 179. De Kersaint A.-G.,
Discours sur les monuments publics..., prononcé le
15-12-1791, cit.
- 180. Deming M., de Vaulchier
C., "La loi et ses monuments" in XVIII siècle,
n°. 14, 1982, p. 119.
- 181. Club des Cordeliers,
Explication au peuple sur l'arrêté du 17 avril
1791, Paris, s.d.
- 182. de Kersaint A.-G., op.
cit., pp. 7-8.
- 183. Ibid., p.
11.
- 184. Non solo gli architetti,
ma tutti gli artisti in generale erano reclutati per mettere in
pratica i valori rivoluzionari: a David fu chiesto di creare il
sontuoso scenario della festa del 10 agosto 1793, festa parigina
dell'Unità e Indivisibilità della Repubblica.
L'evento era perfettamente organizzato sin nel minimo dettaglio
delle sue dinamiche, e per il corteo, che si svolgeva lungo un
percorso intercalato da stazioni (Bastille, Boulevard de
la Poissonnière, Place de la Révolution, Invalides,
Champ de Mars) si era giunti persino ad assegnare i posti,
poiché dietro una festa ben riuscita c'è sempre un
buon ideologo. Ogni stazione ha una sua scenografia (la
fontana della Rigenerazione, un arco di trionfo, la statua della
Libertà, una grande statua di Ercole, due colonne con un
nastro e una livella), i suoi rituali e i suoi simboli. Il corteo,
un gigantesco affresco in movimento proiettato sulla città
"comme un psychodrame collectif joué par une foule
énorme" (Baczko B., op. cit., p. 264), racconta a se
stesso una storia, la sua storia per immagini; il popolo stesso si
sdoppia in attore e spettatore contemporaneamente, gioca due
ruoli: da un lato, quasi a sua insaputa, è ingaggiato dagli
ideologi per veicolare dei valori e dall'altro li recepisce, in
quanto spettatore del proprio corteo.
- 185. Grégoire,
Rapport sur les inscriptions des monuments publics, 21
nivôse, an II, p. 4 e p. 10.
- 186. Deming M., de Vaulchier
C., op. cit., p. 119.
- 187. Détournelle A.,
"Jugements des prix d'Architecture", in Aux Armes et aux Arts!
Peinture, sculpture, architecture, gravure. Journal de la
Société républicaine des arts séant au
Louvre, Paris, s.d., (an II), p. 74, citato in Del Pesco D.,
"Entre projet et utopie: les écrits et la théorie
architecturale 1789-1799", in Les Architectes de la
liberté, cit., p. 327.
- 188.
Ibid.
- 189. Détournelle A.,
Jugements des prix d'Architecture, cit., pp.
71-72.
- 190. Nell'architettura barocca
la forma dell'edificio, la sua decorazione, non avevano niente in
comune con la sua funzione e le biblioteche dei castelli tedeschi
assomigliavano maggiormente a chiese che a delle salles
d'études; il primo a denunciare il conflitto fu proprio
Blondel, che raccomandava invece un compromesso tra i bisogni
pratici e le concezioni artistiche. Le nuove necessità
sociali, lo sviluppo dell'industria, dell'agricoltura, fa nascere
nuove costruzioni: borse, fabbriche, granai, mercati; nelle
città vengono costruiti ospedali, edifici pubblici, scuole,
teatri.
- 191. Boullée E.-L.,
Architecture. Essai sur l'art, cit.
- 192. Secondo l'autore: "Si
les artistes vouloient suivre le symbolique qui caractérise
chaque production, ils acquéreroient autant de gloire que
les poètes, ils élèveroient les idées
de ceux qui les consultent et il n'y auroit pas une pierre qui,
dans leurs ouvrages, ne parlât aux yeux des passants. On
pourrait vraiment dire de l'Architecture ce que Boileau dit de la
poésie: chez elle tout prend un corps, une ame, un esprit,
un visage". Architecture, p. 115.
- 193. Saint-Girons B.,
Esthétiques du XVIII siècle, le modèle
français, dictionnaire des sources, cit., pp.
577-578.
- 194. Rabreau D., op. cit., p.
452.
- 195. In realtà questa
funzione non era del tutto una novità: era simile a quella
svolta dagli affreschi presenti lungo i muri delle chiese o dai
dipinti che ritraevano i re e le loro gesta eroiche, o i
rappresentanti di famiglie di alto rango; la novità,
invece, consisteva nel fatto di assegnare funzioni pedagogiche,
che fino allora erano destinate a edifici importanti o privati,
anche e soprattutto ad edifici pubblici.
- 196. de Kersaint A.-G., op.
cit., p. 1.
- 197. Architecture, p.
114.
- 198.
Ibid.
- 199. Ibid., pp.
118-119.
- 200. "Toutes les formes que
l'on décrit d'un seul trait de compas, sont avouées
par le goût. Le cercle, le carré, voilà les
lettres alphabétiques que les auteurs emploient dans la
texture des meilleurs auvrages". Ibid., p.
135.
- 201. Ibid., p.
223.
- 202. Ibid., p.
217.
- 203. "Le goût se
trouve par-tout où la pureté des lignes est
présentée..." (Ibid., p. 82). Le forme
naturali, o perlomeno attinte dalla natura, sono belle in se
stesse, quindi le ornementations de détail (la
decorazione), in particolare, non avevano più ragione di
esistere: "... J'élaguerai ces emplois fragiles, ces
ornements saillants que les tempêtes humides
décomposent" (Ibid., p. 14). o altrove "Voyez
ce que l'art gagne quand il dépouille l'objet principal de
tout ce qui est inutile; voyez ce qu'il perd en délayant
dans l'accessoire" (Ibid., pp. 14-15). "Les
ornements de détails fatiguent les yeux sans profit pour
les murs" (Ibid., p. 89). "Tout détail
dont on ne peut saisir l'ensemble est perdu; tout détail
est inutile, je dis plus nuisible, quand il divise les surfaces
par des additions mesquines ou mensongères"
(Ibid., p. 91). La decorazione era sobre, ma il suo
ruolo restava importante: "(la décoration)
vivifie les surfaces, les immortalise, les empreint de toutes
les sensations, de toutes les pressions" (Ibid., p.
115); per Ledoux, infatti, grazie ad essa, gli edifici diventavano
quasi organismi viventi, capaci di trasmettere emozioni o
insegnamenti, come possiamo notare, ad esempio, a proposito dei
muri della Salina o del Pacifère, sui muri del quale erano
incise e scritte con lettere d'oro le massime dei moralisti
(Platone, Socrate, Marco-Aurelio). Nel teatro di Besançon,
invece, "la salle n'admet aucune décoration que celle
des spectateurs" (Ibid., p. 232).
- 204. Ledoux elaborava
un'architettura basata su un équilibre des masses,
che avrebbero formato tra loro dei contrasti superbi: "...
alors on verra l'homme de génie s'élever sur les
lignes imprescriptibles du goût... il
s'élèvera sur des masses bien combinées, sur
des ombres prévues et largement prolongées; elles
produiront les effets qui seuls peuvent étonner..."
(Ibid., p. 90). "Que diroit-on d'un monstre qui n'auroit
ni bras ni jambes? C'est ce que deviendrait l'Architecture dont on
supprime les seuls effets que l'on puisse tirer des corps; des
saillies bien combinées, des ombres portées, cet
isolement enfin qui offre en tout sens le contraste des
masses?" (Ibid., p. 28). "C'est la projection des
masses, la saillie du corps qui donnent la caractère
décidé..." (Ibid., p. 183). O ancora: "Etablissez de
belles masses, préparez d'heureux contrastes..."
(Ibid., p. 205).
- 205. "La forme d'un cube
est le symbole de la Justice, on la représente sur une
pierre carrée, prescrivant des peines pour les vices et des
récompenses pour la vertu". Ibid.,
p.115.
- 206. Ibid., p.
184.
- 207. Ibid., p.
184.
- 208. "La forme d'un cube
est le symbole de l'immuabilité; on asseoit les dieux, les
héros, sur un cube...Voilà ce qui a
déterminé la masse de cette élévation;
la morale doit compter dans ses fastes un monument immuable: les
Grecs appeloient un homme carré celui que l'on ne pouvoit
jamais détourner de sa vertu ou de ses devoirs"
(Ibid., p.184). Per l'architetto il cubo rappresentava
dunque la forza, il diritto, la Giustizia, l'austera morale,
l'ordine.
- 209. Ibid., p.
185.
- 210. Saboya M., op.
cit., p. 140.
- 211. Ibid., p.
141.
- 212. Architecture, p.
178.
- 213. Saboya M., op.
cit., p. 141.
- 214. Architecture, p.
194.
- 215. Cf. C. Norberg-Schulz,
La signification dans l'Architecture occidentale, cit., p.
330.
- 216. Rabreau D., op.
cit., p. 283.
- 217. Architecture, p.
203.
- 218. Starobinski J.,
L'invention de la liberté, 1700-1789, Ed. d'Art Skira,
Genève, 1964, p. 205.
- 219.
Ibid.
- 220. Deming M., de Vaulchier
C., op. cit., p. 129.
- 221. Ibid., p.
103.
- 222. "On peut être
vertueux ou vicieux, comme le caillou rude ou poli, par le
frottement de ce qui nous entoure". Ibid., p.
3.
- 223. "Quand on bâtit
une ville, quand on élève des monuments durables, le
principe qui dirige l'artiste ne peut être
indifférent; s'il est instruit, il appelle
l'épuration des murs par des exemples qui frappent la
multitude; il s'entoure de tous les moyens pour donner aux
différents établissements qu'il conçoit, le
caractère d'utilité qui honore le présent et
perfectionne l'avenir..." Ibid., p. 184.
- 224. Ibid., p.
199.
- 225. Ibid., p.
216.
- 226. "Pour corriger un
vice, les peintres valent mieux que les chanteurs des divins
cantiques; il est des vices que la religion ne peut
atteindre". Ibid., p. 99.
- 227. "... rival du dieu qui
créa la masse ronde, il aura plus fait que lui, il aura
dégrossi (l'homme)". Ibid., p. 103.
- 228. Ibid., p.
29.
- 229.
Ibid.
- 230. E proprio di professione
con una capacità e deontologia proprie, parla Ledoux.
Facciamo rilevare infatti che egli distingue tra l'architecte e
l'homme de métier, automate du créateur (p.
175): addirittura i delitti e gli outrages à
l'humanité derivano dal fatto che gli architetti lasciano
l'art de bâtir ai maçons, senza accorgersi che
"l'Architecture est à la maçonnerie ce que la
poésie est aux belles-lettres" (p. 15). D'altra parte,
"l'art sans éloquence est comme l'amour sans
virilité " (p. 17). Ancora a proposito dell'"homme
de métier " Ledoux aggiunge che "il a beau s'exercer
sur la matière, il ne conçoit rien au delà;
il ne produit rien sans dépense matérielle; on peut
le comparer à la femme qui accumule à grands frais
des ornements hétérogènes pour
déguiser des formes communes, tandis que la beauté
plaît à tous les yeux et ne fait aucun frais pour
plaire". Ibid., p. 113.
- 231. Ledoux in questo punto
parla della sua personale esperienza in quanto costruttore della
Salina di Arc et Senans, la quale doveva essere allo stesso tempo
espressione della potenza monarchica e simbolo della
comunità produttiva. L'architetto scelse, come abbiamo
già anticipato, di costruire la fabbrica con tutta la
magnificenza e i tributi architettonici degni di un palazzo reale
o di un monumento ufficiale, contravvenendo alle regole stabilite
dai tradizionali centri di elaborazione del gusto e della teoria
architettonica e suscitando le ire in particolare di un invidioso
Jacques-Ange Gabriel, che gridava allo scandalo e del maestro
Blondel, che riteneva inadeguato l'utilizzo dell'ordine colossale
per un impianto industriale, utilizzo che violava la regola della
convenance che avrebbe invece dovuto reggere ogni architettura.
Ledoux stesso fece dell'ironia sulla situazione scrivendo:
"J'entends le professeur... crier après l'abus: il ouvre
son perplexe rudiment, en retourne toutes les feuilles; il ne voit
rien dans ces points donnés qui justifie l'écart.
Les règles de la grammaire sont violées, tout est
perdu...". (Ibid., p. 135).
- 232. "Dieu! Qui
créas les mondes, tu vois avec complaisance s'embellir une
partie de celui que tu nous as cédé ".
Ibid., p. 1.
- 233. Ibid., p.
102.
- 234. Hugo V., Les
misérables, Ed. Nelson, Paris-Londres, s.d., T. I, p.
46.
- 235. Architecture, p.
17.
- 236. Anche quando, infatti,
l'autore prevede un ritorno delle arti nella città
riedificata, esse hanno lo scopo di migliorare la vita
dell'uomo.
- 237. Ibid., p.
2.
- 238.
Ibid.
- 239. Ibid., p.
111.
- 240.
Ibid.
- 241.
Ibid.
- 242.
Ibid.
- 243. Ibid., p.
214.
- 244. Baczko B., op.
cit., p. 300.
- 245. Architecture, p.
214.
- 246.
Ibid.
- 247. Ibid., p.
1.
- 248. Del Pesco D., "Entre
projet et utopie: les écrits de la théorie
architecturale 1789-1799", in AA., VV., Les Architectes de la
liberté, 1789-1799, cit., p. 327.
- 249. Architecture, p.
6.
- 250. Ibid., pp. 79-80.
Nel corso del XVIII secolo avviene un cambiamento nella
considerazione della salute pubblica, e ci si avvicina sempre di
più all'individuazione dell'oggetto popolazione
(Guido Panseri, "La nascita della polizia medica: l'organizzazione
sanitaria nei vari stati italiani", in Storia d'Italia, Scienza
e Tecnica nella cultura e nella società dal Rinascimento a
oggi, Einaudi, Torino, 1980, Annali 3, p. 190). In precedenza
la salute pubblica era sostanzialemente e indissolubilmente legata
alla salute del sovrano, al punto che, ad esempio, Bernardino
Ramazzini nel De principum valetudine tuenda, commemoratio
del 1710, svolge ancora il discorso in termini tradizionali,
secondo i quali il sovrano è colui che agisce per il bene
pubblico e la sua salute andrà tutelata poiché, in
caso contrario, "a lungo non può più conservarsi la
pubblica felicità" (in Opera omnia medica et
physiologica, Genevae, 1716, cap. I, p. 703). Nel De morbis
artificum diatriba, (1700), del medesimo autore, invece inizia
ad essere focalizzato un altro problema, quello della non
coincidenza totale tra salute del sovrano e salute pubblica: viene
allora portato alla luce tutto un mondo sommerso di tecnici e
bassi lavoratori, la cui attività manuale "sebbene vile
e spregevole in apparenza, è sì necessaria e
vantaggiosa per il benessere generale" (Ibid.,
Prefazione, p. 473), ed è giusto che la medicina
allevii le sofferenze e soccorra anche questi uomini. Secondo
Ledoux "pour la première fois l'art assemble les lois
naturelles et compose un système social; il commande le
bien-être dans toutes les situations, dans toutes les
jouissances usuelles; il lie ses pouvoirs séducteurs aux
droits innés de l'homme, l'industrie au luxe obligé
qui développe les ressources des états; prenant
toutes les formes pour donner toutes les impulsions, il force le
riche d'accorder au pauvre le tribut honorable qu'on doit au
travail ". (L'Architecture considérée sous le
rapport de l'art, des murs et de la
législation. Prospectus. Paris, 1803, p.
24).
- 251. Costruire degli edifici
che non si addicono ad una società ideale, provoca
nell'architetto un certo senso di impotenza: "Il faut en
convenir, les constructions qui abritent les misères
offrent de grandes difficultés pour l'exécution.
Pourquoi? Les misères n'ont d'autres expressions que le
silence et le cri concentré de la douleur; difficilement
ils se font entendre; l'imagination qui conçoit le plan est
saillie d'avance par les détails qu'elle présente
à celui qui les examine" (Architecture, p. 167).
A proposito di una maison d'un percepteur, Ledoux scriveva:
"Un Architecte est bien embarrassé quand il est
obligé de construire le repaire d'une sangsue
gonflée de substances humaines... le génie est muet
et sans action, il est circonscrit au milieu des fléaux
communs qui l'étouffent... Ainsi, s'agite la pensée
de l'Architecte, travaillée par des éléments
discords... Elle n'a plus d'essor: la pureté
inhérente à la culture des arts est incompatible
avec les passions qui les avilissent. La dignité de
l'architecte est avilie quand il est obligé de descendre
les degrés du temple de la gloire pour tracer la demeure
des hommes qui ont fomenté les maux communs ". Ibid.,
p. 174.
- 252. Ibid., p.
104.
- 253. Ibid., pp.
105-106.
- 254. Ibid., p.
106.
- 255. Ibid., p.
18.
- 256. Ibid., p. 119.
- 257. Ibid., p. 103.
- 258. "Voyez ce que l'art
perd s'il manque l'occasion de servir la chose publique; voyez ce
que la chose publique perd quand elle érige des monuments
utiles et qu'elle les abandonne à l'insouciance qui
perpétue ses désastres; elle ne peut s'associer
à l'instruction des siècles, et par la
réaction inévitable perd le moment de les faire
revivre". Ibid., p. 77.
- 259. Non è necessario
che si tratti di una democrazia, l'importante è che i
sudditi siano felici; ricordiamo, a questo proposito, a chi il
libro è dedicato: "A sa majesté, l'empereur de
toutes les Russies [...], tous les peuples de la terre
diront à l'Alexandre du Nord: Vous êtes un homme!
puisque vous voulez bien accueillir un système social, qui
contribuera au bonheur du genre humain". Gallet definisce
Ledoux di un monarchisme modéré (Architecture
de Ledoux, cit., p. 55): era iscritto al Club de Valois, ma sembra
che in privato approvasse l'abolizione dei privilegi e la
secolarizzazione dei beni della Chiesa. L'utopia di Ledoux, che
Saboya definisce addirittura réactionnaire, in
realtà, forse è solo borghese : tende a
difendere i valori acquisiti della Rivoluzione (ma non gli
estremismi), ma aderisce anche al Code Civil, che,
promulgato nel 1804, sancisce, tra l'altro, la proprietà
privata come diritto. Se Ledoux, inoltre, non si sbilancia troppo,
è anche a causa del fatto che alla data della pubblicazione
del libro, il 1804, Napoleone viene incoronato Empereur des
Français, che ormai la fase propriamente rivoluzionaria
in Francia è terminata e che la censura del nuovo regime
iniziava a "mietere vittime illustri", tra le quali Madame de
Staël e Chateaubriand.
- 260. Summerson J., op.
cit., p. 168.
- 261. Architecture, p.
1. Non ci è possibile in questa sede menzionare tutti gli
edifici, né tentare una classificazione, per la quale,
invece, si rimanda a AA. VV., Actualité de C.-N. Ledoux.
Son oeuvre en Franche-Comté. Les Salines Royales d'Arc et
Senans, Fondation C.N. Ledoux, Arc et Senans, 1970, p.
25.
- 262. Architecture, p.
1.
- 263. Ibid., p.
101.
- 264. Ibid., p.
6.
- 265. Ibid., p.
64.
- 266.
Ibid.
- 267. Ibid., p.
157.
- 268. Ibid.
- 269.
Ibid.
- 270.
Ibid.
- 271. Ibid., p.
158.
- 272. Ibid., p 157. Il
mostro è colui che abbandona i figli e divorzia dalla
moglie; Ledoux mantiene la proprietà privata, ma non
accetta il divorzio che viene sancito dal Code : base della
società felice rimane la famiglia con le sue
solidarietà.
- 273. Ibid., p.
193
- 274.
Ibid.
- 275. Ibid., p.
160
- 276.
Ibid.
- 277.
Ibid.
- 278.
Ibid.
- 279. Ibid., p.
184.
- 280. "Sagesse..., la
règle de Polyclète qui offre le modèle de la
raison..., Justice, pèse les droits dans sa balance,
là, elle récompense, plus loin elle punit, ...
Tempérance..., Modération..., Continence...,
Générosité..., Prodigalité...,
Prudence...". Ibid., p. 185.
- 281. Ibid., p.
72.
- 282. Ibid., p.
115.
- 283. Ibid.,
p.114.
- 284. Ibid.,
p.117.
- 285.
Ibid.
- 286.
Ibid.
- 287. La monarchia aveva
continuato a pubblicare editti contro il gioco d'azzardo durante
tutto il XVIII secolo: dal 1717 al 1781 se ne contano una dozzina,
la cui ripetizione indica anche la loro inefficacia. Alcuni
pamphlets del tempo accusano la polizia di ricevere dei
pots-de-vin per proteggere i tripots. Cf. Dunkley
J., "Les jeux de hasard et la loi au XVIIIe siècle",
Le jeu au XVIIIe siècle, Edisud, Aix-en-Province, 1976.
- 288. Architecture, p.
170.
- 289. Ibid., p.
172.
- 290. Forse anche dovere, visto
che potrebbe essere considerato come un modo per tenere sotto
controllo le passioni e per irreggimentare la
società.
- 291. "Cinq concurrents se
disputent le prix de la vélocité, une fille est du
nombre; son élan dévore l'espace, et quoiqu'elle ne
fût qu'au second rang, cette nouvelle Athalante obtient le
prix". Ibid., p. 171. È curioso che Ledoux sia
favorevole alle pari opportunità e addirittura dia
preminenza alla donna anche da un punto di vista fisico, ma, come
abbiamo notato a proposito del Temple de mémoire,
egli non è nuovo a questo tipo di riflessioni. In
quell'occasione, ricordiamolo, il nostro architetto si chiedeva
perché non venerare il genere femminile come d'abitudine si
venerarno i semi-dei, dal momento che la storia sollecita a porre
le donne allo stesso livello degli uomini e constatava che, in tal
caso, i murs publiques non avrebbero potuto che
giovarsene. Inoltre, secondo l'autore, onorarne la memoria
significava restituire loro ciò che esse hanno prestato
agli uomini durante la vita; farne delle divinità,
sull'esempio di Aristotele, significava tributare al sole che
anima il mondo un culto riconoscente... In effetti, rifletteva
ancora l'autore, "il nostro destino (degli uomini) non dipende
forse dalle donne? Ai nostri fianchi dividono con noi le nostre
fatiche, i nostri piaceri; esse coprono di fiori il difficile
sentiero della vita". Dunque un'idea della donna non più
solo come tradizionale fonte di ispirazione, generatrice di vita e
esempio, ma anche partecipante attiva, competitiva e vincente
nella realtà quotidiana. Di tono ben diverso sono le
enunciazioni del suo contemporaneo Restiff de la Bretonne nel suo
Les Gynographes ou idées de deux honnêtes femmes
sur un projet de règlement proposé à toute
l'Europe pour mettre les femmes à leur place et
opérer le bonheur des deux sexes (1777). Il
sottotitolo, che compare nella seconda pagina, differisce
leggermente da quello appena riportato, aggiungendo che,
rimettendo le donne al loro posto, si lavorerebbe efficacement
à la réformation des murs. Soffermiamoci
sull'art. III, che riguarda i rapporti tra i due sessi: III
Manière de leur (aux filles) faire envisager le premier
sexe. "Il faut de bonne heure inculquer aux jeunes filles qu'elles
sont destinées pour l'homme, qui est le chef et le
souverain de la société. En conséquence, le
second sexe doit être élevé
précisément comme ces jeunes seigneurs qu'on place
auprès de l'héritier du trône; toutes les
leçons de soumission et de déférence qu'on
donne à ceux-ci conviennent à ceux-là; c'est
le moyen d'établir la subordination, de maintenir
l'harmonie sociale et de procurer le bonheur des deux sexes".
Restiff de la Bretonne, uvres, T. III, p.
92.
- 292. Architecture, p.
172.
- 293.
Ibid.
- 294. Ibid., p.
216.
- 295. Ibid., p.
215.
- 296. Ibid., p.
216.
- 297. Ibid., p.
215.
- 298.
Ibid.
- 299. Ibid., p.
199.
- 300. Ibid., p. 202. In
realtà da lontano sembra un tempio decorato da colonne, ed
è solo la pianta che definisce esattamente la forma
fallica.
- 301.
Ibid.
- 302. Ibid., p.
148.
- 303. Ibid., p.
83.
- 304.
Ibid.
- 305.
Ibid.
- 306.
Ibid.
- 307.
Ibid.
- 308. Ibid., p.
181.
- 309.
Ibid.
- 310. " [...] Les
idées se croisent, se multiplient à raison des
conceptions différentes, et comme les hommes qui ne sont
pas encore atteints par la corruption, sont faciles à
égarer quand on leur présente le mieux sous des
apparences spécieuses, ils prennent l'art de raisonner pour
la raison elle-même". Ibid.
- 311.
Ibid.
- 312. A proposito della Polonia
in cui cento mila nobili opprimono dieci milioni di servi, Ledoux
commenta che solo "en reprenant leurs droits politiques... ils
peuvent espérer un jour d'être une nation".
Ibid., p. 182. L'idea sembra molto liberale,
ma...
- 313. Ibid., p.
182.
- 314. Ibid., p.
114.
- 315. Ozouf M., op.
cit., p. 313.
- 316. Architecture, p.
56.
- 317.
Ibid.
- 318.
Ibid.
- 319. "Les arts, redevenus
nécessaires, reçoivent un nouvel élan;... la
science et les talents du premier ordre sont accueillis, sont
divinisés". Ibid.
- 320.
Ibid.
- 321. Ledoux divideva il lusso
in un lusso negativo, corruttore, "qui a l'initiative sur les
passions destructives des murs austères", e un
lusso positivo. Egli era contrario al lusso che definiva
condamnable che era costituito, secondo i canoni estetici
della sua maturità, da progetti architettonici assurdi e da
decorazioni inutili.
- 322. Ozouf M., op.
cit., p. 318.
- 323.
Ibid.
- 324. Architecture, p.
77.
- 325. I progetti di Bentham
saranno portati a maturazione solo negli anni 90.
- 326. Architecture, p.
69.
- 327. Citiamo, a titolo di
esempio, il riscaldamento insufficiente, le correnti d'aria, o il
numero ridotto di finestre nelle parti centrali degli edifici
abitativi; spesso, infatti, l'architetto non aveva previsto "comme
unique éclairage pour certaines pièces d'habitation
que l'oeil de buf des urnes renversées
décorant les façades" (Jouffre V.-N., op.
cit., p. 34). Ad onor del vero, però, dobbiamo anche
rilevare la presenza nel cortile della Salina di latrine, e dunque
un senso pratico di igiene e primi comfort.
- 328. Prinet M., "Les ouvriers
des anciennes salines franc-comtoises" in Les Annales
Franc-comtoises, Besançon, 1897, p.
271.
- 329. L'umidità poteva
raggiungere anche il 50 o 60 %.
- 330. Si trattava di un
état des lieux, di un "acte qui consistait en un
inventaire, établi contradictoirement entre le
représentant du fermier sortant et ceux du fermier entrant
en vue de fixer les obligations respectives, ceci sous
l'autorité soit du juge visiteur des salines, soit du
commissaire aux salines". Cf. Humbert R., "La saline de Chaux et
la Ferme Générale", in Académie des
Sciences Belles-lettres et Arts de Besançon,
procès-verbaux et mémoires, vol. 190, 1994, p.
206.
- 331. Vidler A., L'espace
des Lumières: Architecture et philosophie de Ledoux
à Fourier, Ed. Picard, Paris, 1995, p.
180.
- 332. Stoloff B., L'affaire
C.N. Ledoux, autopsie d'un mythe, Ed. Mardaga, Bruxelles,
1977, p. 71.
- 333. In effetti, le
difficoltà della vita all'interno della Salina vengono
liquidate abbastanza velocemente, come se gli operai venissero
anestetizzati contro la fatica. I problemi legati al lavoro
vengono annullati attraverso una serie di soluzioni nuove che si
apparentano, per l'autore, con l'utopia. La nuit sulfureuse dei
magazins des sels, il rougeoiement des tôles, il tintamarre
dei forgerons sono neutralizzati, resi innocui dalle
ouvertures che l'architetto ha previsto per far uscire i
vapeurs maléfiques. E se è vero che,
nonostante tutto, il lavoro costa ancora fatica, Ledoux ha
sistemato i logements vicino al luogo di lavoro, pur
garantendone l'alterità, l'isolamento, per evitare gli
incendi e le sovrapposizioni nocive dal punto di vista
psicologico, di lavoro e vita privata. Egli ha dotato gli edifici
di un minimo di confort, secondo i parametri dell'epoca, di
una certa quantità di aria, luce, acqua; ha permesso la
ricreazione, le heureuses veillées attorno a
focolari comuni; ha organizzato i loisirs nelle adiacenze
delle abitazioni, ha previsto una migliore sussistenza dotando i
lavoratori di jardins légumiers.
- 334. "Si les ouvriers de
tous genres étaient associés aux recherches des
hommes instruits, si les savants les appelaient à leurs
discussions, voyez ce que la chose publique en gagnerait. Quel est
l'ouvrier qui ne s'enflammera pas au récit des merveilles
d'Archimède?". Architecture, p. 97.
- 335. Gallet M.,
Architecture de Ledoux, cit., p. 43. Le soluzioni apportate
da Ledoux per modernizzare e democratizzare il teatro, in risposta
alle critiche comuni rivolte da Rousseau e Mercier ai teatri
tradizionali, innovano la materia: la salle de spectacle è
prevista in modo che tutti possano vedere la scène,
poiché, se è giusto che lo spettatore che paga un
prezzo più alto possa vedere meglio e sia posizionato
nell'avant-scène (scène et loge des
commandants), è anche vero che tutti, avendo pagato, si
assicurano un medesimo "droit de voir dans un rayon égal
et d'être bien vus". La forma semicircolare, che, come
abbiamo già detto, richiama il modello antico, sostituisce
i tradizionali carrés longs e le formes rondes et
ovales che privavano lo spettatore "des plaisirs [de la
vue] que le demi-cercle assure" (Architecture, p.
224). Tale forma permette l'uguaglianza degli angles de vision e
garantirà, ancora una volta, una égalité
dans le nécessaire (Ozouf M., op. cit., p. 318).
Ledoux, inoltre, cercò di provare il proprio civisme
presentando il progetto di un nouvel Opéra, come
testimonierebbe la lettera del 2 novembre 1789 indirizzata a
Sauveur Mignard. Questo teatro de musique per i
citoyens era situato, nei progetti di Ledoux, al posto
dell'attuale rue de la Paix e la sistemazione dei suoi
abords avrebbe implicato la soppressione di due conventi,
dei Capucins e dei Jacobins. Mentre la Constituente
manteneva l'apparenza precaria di una monarchia costituzionale, la
statua equestre di Luigi XIV troneggiava in Place Vendôme.
Il progetto era impressionante "par son ampleur et la magnificence
de ses volumes" (Gallet M., Architecture de Ledoux, cit.,
p. 56); Ledoux, però, era già brûlé e
la Commune di Parigi si rifiutò persino di esserne
informata.
- 336. Rittaud-Hutinet J., La
vision d'un futur: C.-N. Ledoux et ses
théâtres, Ed. CERT, Ensemble Universitaire, Bron,
1982, p. 116.
- 337. Nelle due accezioni di
mente dotata e di essere soprannaturale che può esaudire i
desideri.
- 338. "Je remettrai sous les
yeux les dépenses des constructions, des mutilations, les
produits perdus, consentis, les conflits ministériels, les
abus d'autorité, l'effroi des ames communes, l'importance
des instruments choisis dans la turpitude pour lancer les traits
aiguisés dans les cabinets subalternes et diriger la
vengeance. On verra la nullité de ces amphibies
désorganisateurs verbaliser sur le choix d'une borne, pour
associer la multitude trompée et la race future à
leur ressentiment. Ils dresseront des tréteaux dans les
carrefours pour monter, au son des clairons, des phantômes
économiques qui dépensent pour détruire".
Ibid., p. 18.
- 339. "Le croira-t-on? On
verra des criminels d'état livrés dans
l'arène à la férocité de bêtes
pour avoir assemblé sous des formes monumentales, des
besoins publics dégénérés par
l'opinion". Ibid. Ledoux fa riferimento in questo passo alla
percezione delle Barrières e di se medesimo all'epoca degli
eventi rivoluzionari.
- 340. Ibid., p.
188.
- 341. Ibid., p.
132.
- 342. A proposito di un
Capucin che voleva da lui un'offerta commenta: "Est-il
possible qu'ils abreuvent leur inertie des sueurs du genre humain?
le fou s'appuie sur des mots vides de sens, pour bâtir sur
un sable mouvant, le rempart qui fortifie ses égarements".
Ibid., p. 62.
- 343. Ibid., p.
236.
- 344. "Il est naturel
à l'homme de souhaiter d'être heureux; difficilement
il trouve le bien qu'il cherche; inquiet sur ce qu'il n'a pas,
rarement il est satisfait de ce qu'il possède: le solitaire
regrette de n'avoir pas un état agité; le courtisan
soupire après le repos; celui qui possède à
la ville le modeste toit de ses ancêtres, le détruit
pour bâtir un palais fastueux. D'où ses
créanciers le chassent avant qu'il soit couvert. Le bien et
le mal se trouvent par-tout; le vrai bonheur n'est donc nulle
part". Ibid., p. 181.
- 345. Nel paese del vizio,
(forse la Francia di un certo periodo storico) "la philosophie
qui épure les murs, dans ce pays produit tout le
contraire" (Ibid., p. 55). In realtà la polemica
sulla philosophie è molto più complessa. Sentiamo le
parole di Voltaire a tal proposito: "[...] on vit alors
que s'il y a de grands crimes sur la terre, il y a autant de
vertus; et que si la superstition produit d'horribles malheurs, la
philosophie les répare". Altrove ancora: "[...]
je n'ai donc fait, dans les horribles désastres des Calas
et des Sirven, que ce que font les hommes; j'ai suivi mon
penchant. Celui d'un philosophe n'est pas de plaindre les
malheureux, c'est de les servir. Je sais avec quelle fureur le
fanatisme s'élève contre la philosophie. Elle a deux
filles qu'il conviendrait de faire périr comme Calas, ce
sont la Vérité et la Tolérance; tandis que la
philosophie ne veut que désarmer les enfants du fanatisme,
le Mensonge et la Persécution". Voltaire, Lettres de
Voltaire, Librairie Plon, Paris, 1947, pp. 55 e
58.
- 346. Architecture, p.
236.
- 347. Ibid., p.
48.
- 348. Ibid., p.
36.
- 349. Ibid., p.
33.
- 350. Ibid., p. 39.
- 351. Ibid., p.
19.
- 352. L'appellativo ne evoca
uno simile adottato da Verne ne Le Maître du
monde.
- 353. Ricordiamo qualche
repère chronologique : è dell'agosto 1791 la
dichiarazione di Pillnits che Austria e Prussia firmano
congiuntamente per invitare i monarchi europei a ristabilire
l'ordine in Francia e nell'aprile 1792 la Francia dichiara guerra
all'Austria. La campagna d'Italia si svolge tra il 1796 e il 1797;
quella d'Egitto tra il 1798-1799. Ed è dal 1799 che la
république française è guidata da Napoleone,
che si farà incoronare nel 1804.
- 354 "En administrant mal il
n'a qu'un ennemi, au lieu qu'il a pour ennemi le monde entier qui
redoute son influence tyrannique et va le corriger".
Architecture, p. 237.
- 355. Ibid., p. 240.
- 356. Ibid., p.
33.
- 357. Ibid., p.
239.
- 358. Ibid., p.
114.
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1998