Georgia Santangelo
 
LA RÊVE PÉTRIFIÉ DE C.-N. LEDOUX
 


 
1. Impianto industriale che esiste tuttora, e che, svuotato, purtroppo, di tutti gli strumenti tecnici di produzione del sale (bâtiment de graduation, étuves, poêles, tuyaux, ecc.), ospita al suo interno l'Institut C.-N. Ledoux che gestisce il monumento, organizzando i seminari e le mostre tematiche all'interno della Salina, un museo interamente dedicato all'opera ed ai progetti del nostro architetto e una delle più fornite librerie per quanto attiene alla storia dell'architettura.
2. Chaux non è la sola agglomerazione elaborata da Ledoux, dato che abbiamo qualche progetto riguardante un nuovo villaggio di Mauperthuis, e forse anche per Chauvigny nel Poitou. Delille, l'amico letterato di Ledoux, commentava in questo modo i progetti del nostro architetto: "Il ne cessa de perfectionner les plans d'une ville imaginaire où se seraient trouvés réunis et placés dans les rapports les plus convenables tous les monuments destinés à l'utilité et aux plaisirs des habitants, temples, palais, académies, manufactures, théâtres, bains publics, etc... C'était une véritable utopie d'Architecture et ce travail aurait dû être destiné à la République de Platon. Il n'eût fallu pour l'exécuter que plusieurs milliards et quelques siècles de paix avec un zèle toujours soutenu de génération en génération". Archives Nationales, T 163162.
3. Rabreau D., "Architecture et art urbain", in AA. VV., L'Europe à la fin du XVIII siècle (vers 1780-1802), Ed. Sedes, Paris, 1985, p. 436.
4. In situ o altrove, come per il Teatro di Besançon, edificio realizzato, o la Maison des Gardes Agricoles, inizialmente previsto per il giardino di Mauperthuis.
5. Baczko B., Lumières de l'utopie, Ed. Payot, Paris, 1978, p. 355.
6. Ibid., p. 360.
7. Rabreau D., op. cit., p. 436.
8. Non a caso, infatti il titolo L'Architecture considérée sous le rapport de l'art, des mœurs et de la législation è l'essenza stessa dell'architettura dei Lumi; a questo proposito citiamo le parole di Kersaint: "si j'avais à parler à des hommes pris au hasard et qu'il fallut instruire, je m'arrêterais avec plus de détails sur l'importance des monuments publics, sur leur rapport avec les mœurs et la législation..." (de Kersaint A.-G., Discours sur les monuments publics..., prononcé le 15-12-1791, Paris, 1792, p. 11).
9. Ozouf M., "Architecture et urbanisme, l'image de la ville chez C.N. Ledoux", in L'école de la France: essais sur la Révolution, l'utopie et l'enseignement, Ed. Gallimard, Paris, 1984, p. 297.
10. Baczko B., op. cit., p. 359.
11. Cf. Mona Ozouf, "Architecture et urbanisme: l'image de la ville chez C.N. Ledoux", cit., il cui sottotitolo è: Lecture d'un texte illisible.
12. Utilizziamo questo termine pur essendo coscienti della sua inadeguatezza a rendere conto di tutto quel panorama artistico che si sviluppò letteralmente a cavallo della Rivoluzione francese. Come accadde in campo politico, la rivoluzione in architettura non fu un tutto omogeneo, ma si ebbero fasi successive e correnti diverse e un solo termine, architecture révolutionnaire, non riesce a caratterizzare la varietà artistica del periodo. Con il termine si indica comunque convenzionalmente l'insieme omogeneo dei progetti di edifici e monumenti elaborati al servizio della Rivoluzione politica, "eretti", sulla carta, in suo onore, per celebrarne le virtù, ma che non vennero mai realizzati. La Rivoluzione fu un'incredibile fucina di idee architettoniche nuove, ma non costruì niente: nella Préface della sua Histoire de la Révolution, del 1847, Michelet asseriva: "Le Champ-de-Mars, voilà le seulmonument qu'a laissé la Révolution... L'Empire a sa colonne... la royauté a son Louvre, ses Invalides; la féodale Eglise de 1200 trône encore à Notre-Dame; [...] Et la Révolution a pour monument... le vide...". Esemplare per rilevare l'inadeguatezza e i limiti di una tale definizione generica, fourre-tout, che dovrebbe indicare appunto l'architettura porte-parole dei nuovi valori, è un progetto particolare che, pur rientrando dal punto di vista della datazione negli anni rivoluzionari (risale al 1790), è però eterogeneo rispetto al filone artistico prevalente all'epoca: si tratta infatti di un projet de monument à ériger pour le roi, di Varenne e Janinet. Esso rappresentava, in controtendenza anche rispetto agli avvenimenti storici, «Henri IV aux côtés de Louis XVI, sur le haut socle du monument; la légende de la gravure de Moreau et Janinet nous apprend que, tourné vers Louis XVI encore dans l'exercice de ses fonctions royales, Henri IV s'exclame: "Mon fils, le bonheur des Peuples fait celui des Rois", ce à quoi Louis répond: "Mon Peuple et moi nous ne sommes qu'un"» (Oechslin W., "L'Architecture révolutionnaire: idéal et mythe", in Les architectes de la liberté, 1789-1799, Ecole Nationale des Beaux-Arts, Paris, 1989, p. 351).
13. Tafuri M., "Simbolo e ideologia nell'architettura dell'Illuminismo", in Comunità, nov-dic. 1964, nn. 124-125, p. 78.
14. Saint Girons B., Esthétiques du XVIII siècle, le modèle français, dictionnaire des sources, Ed. Sers, Paris, 1990, p. 529.
15. Ibid. Anche secondo Ledoux "l'Architecture est un Art qui exige l'universalité des connaissances" (De l'arhitecture considérée sous le rapport de l'art, des mœurs et de la législation, par C.xN. Ledoux, I tome, de l'Imprimerie de H.-L. Perronneau, Paris, 1804, p. 8. Da questo punto in avanti l'opera sarà citata come Architecture).
16. Blondel J.-F., Discours sur la nécessité de l'étude de l'Architecture, Jombert, Paris, 1754.
17. Architecture, p. 17.
18. Ibid.
19. Ibid.
20. Gotico allora era sinonimo di tortuoso, ad immagine dei chemins des ânes, secondo un'espressione di Le Corbusier. "L'homme marche droit parce qu'il a un but; il sait où il va. [...] L'âne zigzague, muse un peu, cervelle brûlée et distrait, zigzague pour éviter les gros cailloux, pour esquiver la pente, pour rechercher l'ombre. [...] L'âne a tracé toutes les villes du continent, Paris aussi, malheureusement. Dans les terres que les populations envahissent peu à peu, le charroi passait cahin-caha au gré des bosses et des creux, des cailloux et de la tourbe; un ruisseau était un grand obstacle. Ainsi sont nés les chemins et les routes. A la croisée des routes, au bord de l'eau, on a construit les premières huttes, les premières maisons, les premiers bourgs; les maisons se sont rangées au long des routes, au long des chemins des ânes. On a mis autour un mur fortifié, et un hôtel de ville à l'intérieur. On a légiféré, travaillé, vécu et on a respecté le chemin des ânes. Cinq siècles plus tard, on a construit une seconde enceinte plus grande et cinq siècles après une troisième enceinte plus grande encore.
Par où entrait le chemin des ânes, on a fait les portes de la ville et mis les employés d'octroi. Le bourg est une grande capitale. Paris, Rome, Stamboul, sont bâtis sur le chemin des ânes". Le Corbusier, L'urbanisme, Ed. Flammarion, Paris, 1994, pp. 5-7.
21. Ibid., p. 249 e segg. "Organiser c'est faire de la géométrie; faire de la géométrie dans la nature ou dans le magma «naturellement» issu du groupement des hommes en agglomérations urbaines, c'est faire de la chirurgie". Ibid., p. 260.
22. Vicino a Nancy.
23. Architecture, p. 36.
24. Ibid., p. 69.
25. Ibid., p. 36.
26. Ibid., p. 54.
27. Ibid.
28. Ibid.
29. Ibid., p. 55.
30. Ibid.
31. Ibid.
32. Ibid.
33. Ibid.
34. Ibid. A queste descrizioni dai toni apparentemente apocalittici, fa pendant la descrizione della Cité di Restiff de la Bretonne: "J'allais ensuite à la pointe, appelée le Terrain, en passant par la barbare et gothique Cité, qui est plutôt un inextricable labyrinthe qu'une ville. Figurez-vous des rues philadelphes, où 2 personnes qui se rencontrent ne peuvent passer qu'en s'embrassant, tortueuses, malpropres; des maisons en pierre de taille, élévées de 4 étages. On y étouffe; l'air n'y circule pas; on croit se promener au fond d'un puits". Un po' più oltre: "Il est vrai que l'odieuse Cité doit avoir l'air d'un cachot; le tourniquet, un geôlier...". Restiff de la Bretonne, N.-E., Les Nuits de Paris, Ed. Gallimard Folio, Paris, 1987, pp. 218-219.
35. Architecture, p. 70.
36. Ibid., p. 55.
37. Ibid.
38. Ibid. Nella Cent quatre-vingt-sixième Nuit, Restiff de la Bretonne informa che, in seguito alle numerose ordinanze emanate nel XVIII secolo per regolamentare i bagni nella Senna, furono installati dei bains et établissements particuliers: a Parigi, dunque, si doveva persino pagare una somma di denaro per potersi bagnare nel fiume. Cf. Restiff de la Bretonne, N.-E., op. cit., p. 216 e segg.
39. Architecture, p. 55.
40. Ibid., p. 54.
41. Ibid., p. 55.
42. Ibid., p. 54.
43. Ibid., p. 55.
44. Ibid.
45. Ibid., p. 70.
46. Rabreau D., op. cit., p. 447.
47. Chombart de Lauwe, P., Des hommes et des villes, Paris, 1965, p. 209, cit. in B. Baczko, op. cit.
48. Picon A., Architectes et ingénieurs au siècle de Lumières, Ed. Parenthèses, Marseille, 1988, p. 171.
49. Ledoux pensava soprattutto di abbellire le banlieues, "en leur offrant une couronne monumentale", come riporta Pierre Pinon, nell'articolo "Ledoux, du mur à la Force", in L'architecture aujourd'hui, n°. 261, 1989, p. 37. Egli voleva innanzitutto togliere ai viaggiatori quella sgradevole impressione di una Parigi che "à la périphérie ressemble à un village", impressione avuta anche da Leopold Mozart di passaggio nella capitale nel 1763 ("Lettre à L. Hagenauer, 8 décembre 1763", in W.-A. Mozart, Correspondance, I, 1756-1776, Paris, 1986, p. 60). Ma "une revue des réactions aux Barrières de Ledoux pourrait être faite" (Gallet M., Architecture de Ledoux, inédits pour un tome III, Ed. du Demicercle, Paris, 1991, p. 47): costose, erano il simbolo visibile degli abusi della Ferme Générale, gli odiati appaltatori della gabelle, la tassa sul sale, e "tout le monde murmure contre la bizarre entreprise de mettre Paris dans un cloître", riferì La Correspondance secrète a partire dal 1785; una brochure del 1787 insinuava il dubbio che le barriere costituissero un attentato all'igiene, "en empêchant l'air pur de circuler dans la ville". Non solo, Louis-Sébastien Mercier, nel suo Le Tableau de Paris 1788, si esprimeva così: "Ah! M. Ledoux, vous êtes un terrible architecte!" e commentava: "L'Architecture de ces barrières est carrée, angulaire; elle a dans son style quelque chose d'âpre et de menaçant "; lo scrittore inglese W. Beckford, verso il 1788, parlava della cinta come un "cordon de palais douaniers que leur caractère massif et sépulcral fait ressembler aux entrées d'une nécropole...". Lo stesso Victor Hugo, nella Guerre aux démolisseurs (1825-1832), paragonava la cinta daziaria a "un ossuto scheletro di un invalido emaciato", domandandosi se la degenerazione della società fosse ad un livello tale "di abiezione da dover ammirare le barrières di Parigi". La polemica non era ancora sedata nel 1859, quando il barone Haussmann, nel quadro di un ampliamento di Parigi, procedette alla demolizione delle ultime postazioni sopravvissute all'ira dei parigini.
50. Era infatti diffuso l'adagio le mur murant Paris rend Paris murmurant.
51. Bordeaux fu ampiamente abbellita: fu dotata di una place royale (1730-1755), mentre i remparts moyenageux, le petites ruelles strette e dal percorso sinuoso e i vecchi edifici furono mascherati, dal lato della Gironde, da una facciata moderna, compatta, uniforme che letteralmente si sovrapponeva al vecchio intrico gotico di strade e palazzi. Per lungo tempo si trattò solo di un embellissement di facciata, in quanto dietro la facciata non c'erano in realtà edifici, ma la stessa serviva semplicemente a fornire al viaggiatore e al commerciante che arrivava nel porto l'immagine di una città viva, moderna e all'avanguardia, degna della fama internazionale. La città fu dotata in seguito anche di vialoni aperti, di giardini (1756) grazie all'intendant Tourny e di un magnifico teatro, coevo di quello di Ledoux a Besançon.
52. Picon A., op. cit., p. 175.
53. Le Corbusier, L'urbanisme, cit., p. 249.
54. Picon A., op. cit., p. 175.
55. Il suo trattato più importante, l'Essai sur l'architecture, pubblicato nel 1753, fu tradotto in inglese e in tedesco rispettivamente nel 1755 e nel 1756; anche l'Algarotti e il Milizia, due teorici italiani, si ispirarono a lui. Rispettoso del sistema dell'architettura gotica, egli raccomandava un'ammirazione senza limiti per l'elegante semplicità e il vigore espressivo dell'architettura greca che cominciava allora ad essere riscoperta. Il sistema degli ordini è il modello assoluto di cui sono affermate con convinzione le origini naturali: "les poteaux et les poutres de la cabane rustique vitruvienne" (Rabreau D., op. cit., p. 440). Con uno spirito vicino a quello degli enciclopedisti, Laugier professava "une sorte de déontologie de la théorie architecturale mise au service du progrès de la société." (Ibid.).
56. Patte P., Mémoires sur les objets les plus importants de l'Architecture, Paris, 1769, p. 11
57. Ibid., p. 53.
58. Picon A., op. cit., p. 185.
59. Ibid., p. 185.
60. Ibid., p. 188.
61. Tournier R., "L'ancienne saline royale d'Arc et Senans et le projet de la cité idéale de Chaux", in La nouvelle revue franc-comtoise, Besançon, n°. 2, avril 1954, p. 80.
62. Laugier M.-A., Essai sur l'Architecture, Paris, 1753, p. 209.
63. Ibid. e Patte P., Monuments érigés en France à la gloire de Louis XV, Paris, 1765, p. 213.
64. Baczko B., op. cit., p. 308. Verso la metà del secolo XVIII Parigi diventò un tema letterario di successo. Se Luigi XIV aveva infatti spostato il centro da Parigi a Versailles, il XVIII secolo segna la revanche di Parigi, e il suo sviluppo e i suoi cambiamenti diventano l'oggetto di riflessioni e rêveries. I primi Essais historiques sur Paris, di Poullain de Saint-Foix (1698-1776), iniziano ad essere pubblicati intorno al 1754 e continueranno ad essere rivisti e corretti sino all'edizione postuma del 1777. Dal 1781 al 1783 Ducoudray imita, e non è il solo, gli Essais, e pubblica i Nouveaux essais historiques sur Paris. Un nipote di Saint-Foix, Auguste, nel 1805 pubblica gli Essais historiques sur Paris pour faire suite aux Essais de M. Poullain de Saint-Foix. Caratteristica comune a queste opere è la rivendicazione dell'appartenenza al filone delle opere storiche, che ritracciano la storia ufficiale della capitale. I luoghi sono rievocati non per se stessi, ma in quanto scenari dei diversi avvenimenti ed eventi storici, appunto. Comunque, dai primi essais si nota via via uno scivolamento dal passato al presente, dall'histoire événementielle alla storia quotidiana, vissuta dai parigini. Mercier inizia a pubblicare il suo Tableau de Paris nel 1781 (ne pubblicherà, da questa data al 1788 almeno 12 volumi), e dà il via a un nuovo filone letterario, a una nuova mythologie urbaine (Cf. le notices sur la rédaction des Nuits, dans Les Nuits de Paris, cit.), agli scritti sulla physiologie morale di Parigi. Mercier è poco interessato alla città ufficiale, e si concentra invece sui costumi, lo stato d'animo dei suoi abitanti, nel loro continuo divenire, sui loro desideri e sulle loro paure. Al punto di vista unico dell'ordine monarchico, organizzato attorno alle grandi piazze reali, si sostituisce nei racconti una molteplicità di punti di vista su una città moderna, in movimento, complessa, frammentata e pericolosa.
65. Patte P., Mémoires sur les objets les plus importants de l'Architecture, cit., Paris, 1769.
66. Picon A., op. cit., p. 171.
67. Patte P., Mémoires sur les objets les plus importants de l'Architecture, cit., pp. 5-6.
68. Ibid.
69. Patte P., Mémoires sur les objets les plus importants de l'Architecture, cit., p. 5.
70. Ibid., p. 3.
71. Le crisi dovute a cattivi raccolti spingevano molti ruraux a emigrare, ma, una volta arrivati nelle città, la vita che li attendeva spesso non era quella sperata: se riuscivano ad inserirsi nel tessuto lavorativo ed espletavano quelle funzioni umili e faticose di cui la città non poteva fare a meno, gli immigrati venivano tollerati; se, invece, non avevano un'occupazione, erano considerati pericolosi, dediti al libertinage, come risulta anche da un editto emanato nel 1657 da Luigi XIV (citato in M. Foucault, Storia della follia nell'età classica, Rizzoli, Milano, 1978, p. 608-611). Si tentava di porre rimedio alla loro crescita esponenziale, dovuta all'idea diffusa di trovare nella grande città una sussistenza più facile, attraverso perentori editti di espulsione, nei quali si intimava, come era il caso per uno di quelli emanati a Parigi, nel 1777, di "tornare nel luogo d'origine entro quindici giorni o di trovarsi un lavoro". (Guerci L., L'Europa del Settecento, Ed. Utet, Torino, 1988, p. 26). Una serie di provvedimenti volti a disciplinare e a limitare la crescita di Parigi vennero inoltre emanati nel 1724, 1726, 1728, 1765, ma, inadatti a risolvere le cause strutturali della crescita, risultarono inefficaci: la città funzionava come una gigantesca "pompe aspirante et foulante" (AA. VV., Histoire de la France urbaine-La ville classique, sous la direction de G. Duby, Ed. du Seuil, Paris, 1981, p. 301). In particolare Parigi aveva una popolazione di 550.000-600.000 abitanti nel 1789, ed era la seconda città europea dopo Londra. (Guerci L., op. cit., p. 28).
72. Secondo le cifre sicuramente esorbitanti di Louis-Sébastien Mercier, le prostituées o courtisanes, nella seconda metà del XVIII secolo, sarebbero state, nella sola Parigi, 40.000, pari al 7% della popolazione. A parte l'attendibilità dei dati, che probabilmente includevano anche delle filles "légères", le quantità comunque spiegano l'immensità del flagello sociale che continuò a crescere durante tutto il secolo. (Cf. AA. VV., Histoire de la France urbaine-La ville classique, cit., p. 301).
73. Le famiglie numerose degli strati inferiori della popolazione spesso non erano in grado di badare al sostentamento dei neonati che venivano abbandonati, in una percentuale che arrivò a toccare la soglia del 35% nel 1770, (AA. VV., Histoire de la France urbaine-La ville classique, cit., p. 327), in strutture pubbliche o caritatevoli, dalle condizioni igieniche a loro volta pessime. I bambini vi arrivavano già in un tale stato di denutrizione e di sfinimento, che raramente riuscivano a sopravvivere: tra il 1773 e il 1777, i 4/5 dei bambini abbandonati all'Hospice des enfants trouvés di Parigi, morirono nel periodo di un anno. (Ibid.).
74. Guerci L., op. cit., p. 28.
75. Ibid.
76. All'epoca le persone agiate risiedevano ai piani inferiori degli stabili.
77. E quando anche, verso la metà del XVIII secolo, le amministrazioni cittadine si adoperarono per ammodernare i vecchi edifici o radere al suolo e ricostruire dei nuovi, presi dalla fureur de la bâtisse e de l'embellissement, molti poveri rimasero addirittura senza alloggio. (Cf. AA. VV., Histoire de la France urbaine-La ville classique, cit., p. 327).
78. Nella novella del Decamerone dal titolo: Andreuccio da Perugia, venuto a Napoli a comperar cavalli, in una notte da tre gravi accidenti soprapreso, da tutti scampato con un rubino si torna a casa sua.
79. Nella 31e Nuit Restiff racconta di questi restes d'anatomie: "En m'en revenant, je passai par la rue Saint-Martin, la rue des Gesvres, le pont au Change, et le pont Saint-Michel. Au coin de la rue Huchette, à l'endroit nommé le Cagnard, je vis fuir des jeunes gens, qui remontèrent la rue de la Harpe. J'allai voir ce qu'ils avaient fait au Cagnard; et je trouvai... les membres d'un enfant ouvert. Je frémis... Le lendemain matin, je vins chez l'apothicaire du coin, pour l'informer de ce que j'avais trouvé sous ses fenêtres. Il se mit à rire. Ce sont des restes d'anatomie. On refuse des cadavres aux jeunes chirurgiens, et ils sont obligés d'en voler, ou d'en acheter: lorsqu'ils les ont disséqués, ils ne savent plus qu'en faire. Quatre se chargent du corps divisé; deux précèdent, et deux suivent, pour avertir: on a soin de tenir ouvertes, sur la route, quelques allées, dont on sait le secret, et l'on s'y réfugie en cas de danger. Enfin l'on arrive ici pour y jeter les débris, et l'on se sauve "... (Restiff de la Bretonne, N.-E, Les Nuits de Paris, cit., p. 67).
80. Ancora a questo proposito vediamo Louis-Sébastien Mercier, nel suo Tableau de Paris: "Si un ancien revenait au monde de quel étonnement ne serait-il pas frappé dans l'amphithéâtre de l'académie royale qu'aucune loi n'autorise à avoir des cadavres [...]. L'Hôtel-Dieu refuse de livrer des cadavres; on a recours à l'adresse; on les vole à Clamart, ou bien on les achète de la Salpêtrière et de Bicêtre." (T. I, p. 260-261). "[...] Quand le corps a été haché, disséqué, l'anatomiste ne sait plus comment le replacer au lieu où il l'a pris: il en jette et en disperse les morceaux où il peut, soit dans la rivière, soit dans les égouts, soit dans les latrines [...] et il n'est pas rare de trouver dans des tas de fumiers, des débris de l'espèce humaine" (Ibid., p. 259). "Il faut des cadavres aux jeunes chirurgiens; mais comme un cadavre coûte un louis d'or, ils les volent: ils se mettront quatre, prendront un fiacre, escaladeront un cimetière. L'un combat le chien qui garde les morts; l'autre avec une échelle descend dans la fosse, le troisième est à cheval sur le mur, jette le cadavre; le quatrième le ramasse et le met dans le fiacre" (T. IX, p. 196-197).
81. Cf. Guerci L., op. cit.
82. AA. VV., Histoire de la France urbaine-La ville classique, cit., p. 341.
83. Summerson J., L'Architecture au XVIII siècle, Ed. Thames and Hudson, S.A.R.L., Paris, 1993, p. 127. Bisogna ricordare che "au siècle des Lumières, l'hôpital est en général destiné aux malades pauvres. Les classes aisées ont des domestiques à leur service et des médecins pour les soigner. Les pauvres, eux, dépendent entièrement des œuvres de charité". Ibid.
84. L'opera di Joseph Priestley (1733-1804) del 1772, dal titolo Observations on different kinds of air, e la scoperta dell'ossigeno di Lavoisier, inauguravano una nuova epoca per la chimica pneumatica: per i medici la scoperta che l'aria fosse formata da gas con caratteristiche diverse apriva promettenti orizzonti nello studio della salubrità dell'aria e dei meccanismi della respirazione animale. L'individuazione del fenomeno di saturazione dell'aria atmosferica con anidride carbonica aveva dato vita, a partire dal 1774 a numerosi studi sulla salubrità, attraverso i quali si cercava di individuare con la massima precisione possibile il grado di salubrità, appunto, degli ambienti chiusi; Marsilio Landriani (1751-1815), pubblicava nel 1775 Ricerche fisiche intorno alla salubrità dell'aria, in cui presentava al pubblico un nuovo strumento, l'eudiometro, che permetteva di far reagire il biossido d'azoto con l'aria atmosferica, da cui assorbiva l'ossigeno. Quanto maggiore era la quantità di ossigeno assorbita durante l'esperimento, tanto più salubre era l'aria atmosferica. Si sperava inoltre di poter utilizzare il nuovo strumento per prevedere l'arrivo di epidemie e malattie contagiose portate dall'aria o dai venti. Tra il 1780 e il 1785 Lavoisier e i membri più prestigiosi dell'Académie des Sciences vennero sollecitati a redigere un dettagliato rapporto sulle condizioni delle prigioni e degli ospedali parigini e a formulare proposte di riforma. Lavoisier specificava che era di loro competenza: "tutto ciò che concerne la circolazione e il ricambio dell'aria, i mezzi per opporsi alla putrefazione o per prevenirne gli effetti, insomma, tutto ciò che riguarda la salubrità dei luoghi e la salute di quelli che li devono abitare". Ma sentiamo quali erano le condizioni delle carceri parigine: "Le tre prigioni non hanno insieme che 522 tese e mezzo di superficie; contengono in genere in totale sei-ottocento persone e talvolta mille: se entriamo nei dettagli della loro distribuzione, offrono il quadro che segue: cortili estremamante piccoli, edifici molto alti che si oppongono alla circolazione dell'aria, camere davvero piccole e molto basse, dove si è radunato un numero troppo elevato di prigionieri, camere talmente vicine che l'aria e la luce non hanno facile accesso e che attingono le une dalle altre un'aria già infetta e già viziata; aperture estremamente strette e mal piazzate, giacigli dove i prigionieri sono piuttosto ammucchiati che distesi; una paglia sovente putrida che funge da letto; latrine e condotte d'urina che attraversano la maggior parte delle celle; chiaviche da cui si spandono nelle abitazioni vapori infetti; segrete dove l'acqua filtra attraverso le volte, dove gli abiti dei prigionieri marciscono sul loro corpo, dove essi fanno tutti i loro bisogni; il suolo e il terreno inondati quasi dappertutto da un'acqua corrotta, perché spesso non può scorrere via; da tutte le parti fango, pidocchi e corruzione. Questo è lo spettacolo orribile che offrono le prigioni, che è giocoforza distruggere e riformare". (cf. I grandi della scienza; Lavoisier, supplemento a Le Scienze, anno 1, n°. 3, maggio 1998). Come rimedi più urgenti furono proposte almeno la disinfestazione delle celle, e la loro ventilazione costante; le ricerche eudiometriche, infatti, rilevavano che la causa maggiore del diffondersi di epidemie tra i prigionieri era proprio da ricercarsi nella stagnazione dell'aria putrida e nociva. È da notare qui che alle considerazioni lucide sullo stato deplorevole si uniscono la denuncia politica e la focalizzazione della necessità di un programma di riforme sociali che doveva necessariamente essere indirizzato dalla scienza: le ricerche eudiometriche venivano per la prima volta messe in diretta relazione con gli elementi sociali e le situazioni ambientali che contribuivano ad alterare la salubrità dell'aria.
85. AA. VV., Histoire de la France urbaine-La ville classique, cit., p. 307.
86. Ibid., p. 344.
87. Inoltre la direzione intrapresa dalle lumières médicales non fu sempre quella giusta: accanitisi contro l'air, considerata la causa di tutte le malattie, conformemente ai principi della medicina detta aériste, i medici non si interessarono che tardivamente al contagio attraverso le acque, veicolo di tifo e, nel XIX secolo, di colera.
88. Architecture, p. 56.
89. Ibid.
90. Ibid.
91. Ibid.
92. Choay F., L'urbanisme, utopies et réalités, Ed. Du Seuil, Paris, 1965. (Réed. Coll. "Points").
93. AA. VV., Dictionnaire de l'aménagement, publié sans la direction de P. Merlin et F. Choay, Ed. Puf, Paris, 1988, p. 534, ad vocem Pré-urbanisme.
94. Ibid.
95. Ibid.
96. Vidler A., The Theatre of Production. Claude-Nicolas Ledoux and the Architecture of social Reform, citato in A. Picon, op. cit., p. 189.
97. AA. VV., Dictionnaire de l'aménagement, cit., p. 534.
98. Ibid.
99. Ibid.
100. R. Trousson (in Voyages au pays de nulle part. Histoire littéraire de la pensée utopique, Ed. de l'université de Bruxelles, 1975), e B. Backzo (in Lumières de l'utopie, cit.), con qualche lieve differenza individuano le seguenti caratteristiche: la presenza di una città alternativa, con una descrizione che restituisca la complessità sociale dell'esistenza, retta da principi politici, economici e morali, la presenza di un viaggio, di un tempo, di uno spazio e di un ordine assoluti. Questo per quanto riguarda la forma del récit utopique, ma per il contenuto, cioè la morfologia della città, gli elementi ricorrenti sono i seguenti: l'insularismo, nel senso più lato del termine, cioè una "géographie parallèle, qui se surimpose au réel, et le double, sans être le réel" (Trousson R., op. cit., p. 272); la presenza di mura, di una pianta regolare, con vie dritte ed ampie, acqua potabile distribuita attraverso un sistema idraulico, l'aria salubre, la luce abbondante, la presenza di aree verdi e di un luogo aggregante per le feste pubbliche, la sicurezza degli edifici contro gli incendi, la presenza di conforts, quali latrine e portici per ripararsi in caso di pioggia, l'ordine, la circolazione fluida, la magnificenza dei palazzi, la presenza di elementi di progresso tecnico, e il particolare regime politico: la monarchia illuminata.
101. Cf. la parte riguardante le ambiguità dell'utopia.
102. Picon A., op. cit., p. 273
103. Definizione proposta da P. Foulquié e R. Saint-Jean nel Dictionnaire de la langue philosophique, Puf, Paris, 1969, p. 747.
104. Picon A., op. cit., p. 273
105. Ruyer R., L'utopie et les utopies, Puf, Paris, 1950, p. 20.
106. Jean G., Voyages en Utopie, Ed. Gallimard, coll. Découvertes, Paris, 1994, p. 13.
107 AA. VV., Dictionnaire de l'aménagement, cit., p. 534, ad vocem Utopie.
108. Ibid.
109. Ibid.
110. Basta ricordare qualche autore: Doni e il suo Mondi celesti..., del 1552; Stiblin con il De Eudemonensium republica, del 1555; Andreae, con Rei publicae Christianopolitanae descriptio, del 1619, Campanella con la sua Civitas solis, del 1623, e ancora Cabet con i suoi Voyages... en Icarie, del 1840, o Morris con News from Nowhere, del 1891, o la più recente A modern Utopia, di Wells del 1905. Senza contare le innumerevoli forme derivate tra le quali possiamo citare Nova Atlantis di Bacon, del 1627, Histoire comique des états... de la lune et du soleil di Cyrano de Bergerac, del 1657, o ancora Les aventures de Télémaque, di Fénelon, del 1699; o The man in the moon, del 1648, di Godwin, o ancora Le code de la nature di Morelly, del 1755, o An Address... di Owen, del 1816, o Le nouveau monde industriel et sociétaire, di Fourier del 1829, e per finire, Erehwon or Over the Range di S. Butler del 1872 e Brave new world, di Huxley, del 1923. Cf. Ibid.
111. Jean G., op. cit., p. 136.
112. Bonello Y-H., La ville, Ed. Puf, Paris, 1996, p. 119.
113. Ibid.
114. Jean G., op. cit., p. 136.
115. AA. VV., Dictionnaire de l'aménagement, cit., p. 780, ad vocem Utopie.
116. Klein R., "L'urbanisme politique, de Filarete à Valentin Andrea" in Les utopies de la Renaissance, p. 211, citato in Saboya M., Claude Nicolas Ledoux, urbaniste et architecte, mémoire de maîtrise, Bibliothèque Universitaire de Bordeaux III, 1969, p. 57.
117. AA. VV., Dictionnaire de l'aménagement, cit., p. 780, ad vocem Utopie.
118. Bonello Y-H., op. cit., p. 120.
119. Ragon M., L'homme et les villes, Ed. A. Michel, Paris, 1995, p. 163.
120. Architecture, p. 35.
121. Ibid., p. 145.
122. Jouffre V.-N., La Saline royale d'Arc et Senans, Fondation C. N. Ledoux, Arc et Senans, 1988, p. 22.
123. Ibid.
124. L'incendio aveva catalizzato la coscienza collettiva che "s'éveille alors, et administrateurs et architectes se penchent sur la question des hôpitaux parisiens. Objet d'importantes controverses pendant les seize années qui suivront, elle jouera un rôle primordial dans le Siècle des Lumières". (Summerson J., L'Architecture au XVIII siècle, cit., p. 127).
125. Ibid.
126. Vidler A., C.N. Ledoux, Electa, Milano, 1994, p. 93.
127. Architecture, p. 67.
128. Vidler parla a tal proposito di "una vera forma tipo, chiusa in se stessa, indifferente a qualsiasi localizzazione particolare, e unificante in un unico diagramma tutti i bisogni della comunità". "In questo senso", aggiunge Vidler, Ledoux "anticipava, di ben 45 anni, in modo sorprendente, i 'parallelogrammi ideali' di Robert Owen". Vidler A., "Architettura, gestione, principi etici: progetto di una comunità produttiva alla fine del XVIII secolo", in Lotus International, n. 14, 1977, p. 6.
129. Tournier R., op. cit., p. 80.
130. Bottero B., Progetto o metodo, variazioni sul tema della Salina di C.N. Ledoux, Ed. A. Guerini e Associati, Milano, 1988, p. 16.
131. Architecture, p. 69-70.
132. Ibid., p. 28-29.
133. Le città ideali dell'epoca manierista erano a pianta quadrata, ma questa pianta si ritrova ancora nelle diverse città d'utopia: ad esempio a Severiade (Veiras, Histoire des Sévérambes, peuples qui habitent une partie du troisième continent communément appelé la terre Australe, contenant une relation du gouvernement, de la religion et du langage de cette nation inconnue jusqu'à présent, Amsterdam, 1677-79) e a Selenopoli (De Listonai , Villeneuve, Le voyageur philosophique dans un pays inconnu aux habitants de la Terre, Amsterdam, 1761).
134. Architecture, pp. 28-29.
135. Ibid., p. 68.
136. Ibid., p. 56.
137. Ibid.
138. Ibid., p. 146.
139. Ibid.
140. Ibid., p. 77.
141. Ibid., p. 56.
142. Secondo Marc Saboya, la teoria ricordava la théorie des climats di Montesquieu.
143. Architecture, p. 69.
144. Ibid., p. 67.
145. Ibid., p. 70.
146. Ibid.
147. Ozouf M., op. cit., p. 291.
148. Architecture, p. 205.
149. Ibid., p. 144.
150. Ibid., p. 64.
151. Ibid., p. 139.
152. Ibid., p. 183.
153. Ibid., p. 214.
154. Ibid., p. 192. D'altra parte il couronnement può essere letto anche sotto un'altra luce, può avere un'altra funzione: esso si lega all'idea dell'axis mundi che in architettura indica, da tempo immemorabile, una salita o una discesa, e comunque sempre un avvicinamento a qualche cosa. C. Norberg-Schulz (La signification dans l'architecture occidentale, Ed. Mardaga, Liège, 1977, p. 330) dice che la direzione verticale viene considerata come la dimensione sacra dello spazio, ed è "l'archétype du passage d'une région cosmique à l'autre". In questo caso, dunque, possiamo rilevare che tramite il couronnement gli edifici progettati da Ledoux si avvicinano anche al cielo metaforicamente inteso, tendono al modello assoluto della città perfetta, dell'Eden, della terra promessa, e, allo stesso modo, per il fatto che si allontanano da una determinata regione cosmica (quella terrestre), escono anche dal tempo relativo della terra. Diventano archetipi assoluti essi stessi e, come il loro creatore, diventano rivali della città celeste.
155. Ozouf M., op. cit., p. 313.
156. Ibid.
157. Attraverso la creazione di questi orti, Ledoux persegue due scopi distinti, ma altrettanto utili: quello di procurare alimenti necessari alla salute, e quello di tener occupato il tempo degli operai con sani loisirs, ed allontanarli dai sinistri richiami delle guinguettes di paese.
158. Citato in Baczko B., op. cit., p. 286. In quel caso la città teorizzata si sarebbe chiamata Liberté.
159. Architecture, p. 92.
160. Ibid., p. 166.
161. Altrove, a proposito della Bourse, Ledoux ritornerà sulla funzione dei portici: quelli coperti mettono le discussioni "à l'abri des caprices de l'air", mentre quelli aperti possono "corriger les influences homicides de la saison caniculaire". Ibid., p. 126.
162. Già Patte aveva messo l'accento sulla necessità di installare "lieux communs pour les besoins des passants" , in modo che "à l'aide de ces établissements il s'ensuivrait que les alentours de grands murs, et surtout des temples, dont on devrait s'approcher avec respect, ne se trouveraient pas sans cesse infectés d'excréments. Les cours des palais et des hôtels, les porches des maisons particulières et leurs paliers sont autant de réceptacles aux besoins des passants" (Patte P., Mémoires sur les objets les plus importants de l'Architecture, cit., p. 15).
163. Architecture, p. 48.
164. Ibid.
165. Ibid.
166. Ibid.
167. Ibid.
168. "Vous, qui faites naître l'heureuse inspiration, prolongez la mienne; accordez-moi encore quelques années pour embellir ce monde intellectuel". Ibid., p. 197.
169. Pérouse de Montclos, Boullée, Ed. Art et métier graphique, Paris, 1969, p. 205.
170. "L'Architecture est une affaire sociale et publique trop importante pour concerner, en premier lieu, le particulier. Elle doit se mettre au service du «bien général»". Cf. Bekeart G., Préface a Laugier M.-A., Essai et Observations sur l'Architecture, réed. Intégrale, Ed. Mardaga, Bruxelles, 1978, citato in Rabreau D., op. cit., p. 440.
171. Quatremère de Quincy M., "Architecture", in Encyclopédie Métodique, Paris, 1778, T. I., p. 100.
172. Architecture, p. 11.
173. Ibid., p. 210.
174. Ibid., p. 34. "C'est par le tableau de ces compositions aussi variées que nombreuses, toutes marquées au caractère qui leur est propre, et qui, dans leur exécution offrent l'analyse de tous les principes, que j'instruirai, échaufferai, contiendrai l'artiste qui s'élance dans la carrière de l'Architecture". Ibid., p. 3.
175. "Que de moyens l'art vous offre! Jeunes artistes, enfants chéris d'Apollon; voyez ce que peut une pensée, une heure, un jour de votre temps: il n'y a pas d'événement qui puisse enchaîner le génie; la volonté même du Dieu suprême ne peut rien changer à la nature du bien qu'il peut faire, puisqu'il n'est pas de son essence que le vice obtienne des avantages sur la vertu. Travaillez, travaillez toute votre vie pour obtenir ce jour, cette heure". Ibid., p. 155.
176. Baczko B., op. cit., p. 247. Oggi sappiamo che l'arte, riflesso della società, può in realtà servire scopi "politici", morali ed educativi: basti solamente citare la funzione di propaganda degli edifici che Albert Speer costruì per le parate militari hitleriane o ancora, la funzione dell'arte durante il socialismo o il fascismo o, per giungere a tempi a noi più vicini, basti ricordare il Libro delle guardie rosse di Mao-Tse-Tung in cui si legge: "[...] dobbiamo fare in modo che la letteratura e l'arte si integrino perfettamente nel meccanismo generale della rivoluzione, diventino un'arma potente per unire ed educare il popolo (corsivo mio) per colpire ed annientare il nemico, e per aiutare il popolo a lottare contro il nemico con un cuore solo e una sola volontà". (Ed. Feltrinelli, 1967, p. 190). È da notare come l'architettura in particolare, tra le altre arti, si presti ad essere manipolata e sia stata manipolata per un certo fine: l'interesse di trasmettere dei valori attraverso la costruzione di edifici si potrebbe forse spiegare con l'immediata fruibilità e tangibilità dell'oggetto artistico. Citeremo a questo proposito Boullée: "l'architecture est un art par lequel les besoins les plus importants de la vie sociale sont remplis". Boullée E.-L., Architecture. Essai sur l'art, Paris, 1968, pp. 32-33.
177. Gallet M., Architecture de Ledoux, cit., p. 42.
178. Nei testi del XVIII secolo si parlava piuttosto di architecture symbolique, in rapporto soprattutto alle teorie di Viel de Saint-Maux, che, assimilando l'architettura ad un linguaggio universale e simbolico, ha cercato di spiegare l'architettura antica, leggendola come un message codé (Cf. Lettres sur l'architecture des anciens et celles des modernes dans lesquelles se trouve développé le génie symbolique qui présida aux mouvements de l'Antiquité, pubblicate tra il 1774 e il 1778). A quanto pare il primo ad utilizzare il termine parlante fu Vaudoyer nel Magasin Pittoresque, tome XX, décembre 1852, p. 388.
179. De Kersaint A.-G., Discours sur les monuments publics..., prononcé le 15-12-1791, cit.
180. Deming M., de Vaulchier C., "La loi et ses monuments" in XVIII siècle, n°. 14, 1982, p. 119.
181. Club des Cordeliers, Explication au peuple sur l'arrêté du 17 avril 1791, Paris, s.d.
182. de Kersaint A.-G., op. cit., pp. 7-8.
183. Ibid., p. 11.
184. Non solo gli architetti, ma tutti gli artisti in generale erano reclutati per mettere in pratica i valori rivoluzionari: a David fu chiesto di creare il sontuoso scenario della festa del 10 agosto 1793, festa parigina dell'Unità e Indivisibilità della Repubblica. L'evento era perfettamente organizzato sin nel minimo dettaglio delle sue dinamiche, e per il corteo, che si svolgeva lungo un percorso intercalato da stazioni (Bastille, Boulevard de la Poissonnière, Place de la Révolution, Invalides, Champ de Mars) si era giunti persino ad assegnare i posti, poiché dietro una festa ben riuscita c'è sempre un buon ideologo. Ogni stazione ha una sua scenografia (la fontana della Rigenerazione, un arco di trionfo, la statua della Libertà, una grande statua di Ercole, due colonne con un nastro e una livella), i suoi rituali e i suoi simboli. Il corteo, un gigantesco affresco in movimento proiettato sulla città "comme un psychodrame collectif joué par une foule énorme" (Baczko B., op. cit., p. 264), racconta a se stesso una storia, la sua storia per immagini; il popolo stesso si sdoppia in attore e spettatore contemporaneamente, gioca due ruoli: da un lato, quasi a sua insaputa, è ingaggiato dagli ideologi per veicolare dei valori e dall'altro li recepisce, in quanto spettatore del proprio corteo.
185. Grégoire, Rapport sur les inscriptions des monuments publics, 21 nivôse, an II, p. 4 e p. 10.
186. Deming M., de Vaulchier C., op. cit., p. 119.
187. Détournelle A., "Jugements des prix d'Architecture", in Aux Armes et aux Arts! Peinture, sculpture, architecture, gravure. Journal de la Société républicaine des arts séant au Louvre, Paris, s.d., (an II), p. 74, citato in Del Pesco D., "Entre projet et utopie: les écrits et la théorie architecturale 1789-1799", in Les Architectes de la liberté, cit., p. 327.
188. Ibid.
189. Détournelle A., Jugements des prix d'Architecture, cit., pp. 71-72.
190. Nell'architettura barocca la forma dell'edificio, la sua decorazione, non avevano niente in comune con la sua funzione e le biblioteche dei castelli tedeschi assomigliavano maggiormente a chiese che a delle salles d'études; il primo a denunciare il conflitto fu proprio Blondel, che raccomandava invece un compromesso tra i bisogni pratici e le concezioni artistiche. Le nuove necessità sociali, lo sviluppo dell'industria, dell'agricoltura, fa nascere nuove costruzioni: borse, fabbriche, granai, mercati; nelle città vengono costruiti ospedali, edifici pubblici, scuole, teatri.
191. Boullée E.-L., Architecture. Essai sur l'art, cit.
192. Secondo l'autore: "Si les artistes vouloient suivre le symbolique qui caractérise chaque production, ils acquéreroient autant de gloire que les poètes, ils élèveroient les idées de ceux qui les consultent et il n'y auroit pas une pierre qui, dans leurs ouvrages, ne parlât aux yeux des passants. On pourrait vraiment dire de l'Architecture ce que Boileau dit de la poésie: chez elle tout prend un corps, une ame, un esprit, un visage". Architecture, p. 115.
193. Saint-Girons B., Esthétiques du XVIII siècle, le modèle français, dictionnaire des sources, cit., pp. 577-578.
194. Rabreau D., op. cit., p. 452.
195. In realtà questa funzione non era del tutto una novità: era simile a quella svolta dagli affreschi presenti lungo i muri delle chiese o dai dipinti che ritraevano i re e le loro gesta eroiche, o i rappresentanti di famiglie di alto rango; la novità, invece, consisteva nel fatto di assegnare funzioni pedagogiche, che fino allora erano destinate a edifici importanti o privati, anche e soprattutto ad edifici pubblici.
196. de Kersaint A.-G., op. cit., p. 1.
197. Architecture, p. 114.
198. Ibid.
199. Ibid., pp. 118-119.
200. "Toutes les formes que l'on décrit d'un seul trait de compas, sont avouées par le goût. Le cercle, le carré, voilà les lettres alphabétiques que les auteurs emploient dans la texture des meilleurs auvrages". Ibid., p. 135.
201. Ibid., p. 223.
202. Ibid., p. 217.
203. "Le goût se trouve par-tout où la pureté des lignes est présentée..." (Ibid., p. 82). Le forme naturali, o perlomeno attinte dalla natura, sono belle in se stesse, quindi le ornementations de détail (la decorazione), in particolare, non avevano più ragione di esistere: "... J'élaguerai ces emplois fragiles, ces ornements saillants que les tempêtes humides décomposent" (Ibid., p. 14). o altrove "Voyez ce que l'art gagne quand il dépouille l'objet principal de tout ce qui est inutile; voyez ce qu'il perd en délayant dans l'accessoire" (Ibid., pp. 14-15). "Les ornements de détails fatiguent les yeux sans profit pour les mœurs" (Ibid., p. 89). "Tout détail dont on ne peut saisir l'ensemble est perdu; tout détail est inutile, je dis plus nuisible, quand il divise les surfaces par des additions mesquines ou mensongères" (Ibid., p. 91). La decorazione era sobre, ma il suo ruolo restava importante: "(la décoration) vivifie les surfaces, les immortalise, les empreint de toutes les sensations, de toutes les pressions" (Ibid., p. 115); per Ledoux, infatti, grazie ad essa, gli edifici diventavano quasi organismi viventi, capaci di trasmettere emozioni o insegnamenti, come possiamo notare, ad esempio, a proposito dei muri della Salina o del Pacifère, sui muri del quale erano incise e scritte con lettere d'oro le massime dei moralisti (Platone, Socrate, Marco-Aurelio). Nel teatro di Besançon, invece, "la salle n'admet aucune décoration que celle des spectateurs" (Ibid., p. 232).
204. Ledoux elaborava un'architettura basata su un équilibre des masses, che avrebbero formato tra loro dei contrasti superbi: "... alors on verra l'homme de génie s'élever sur les lignes imprescriptibles du goût... il s'élèvera sur des masses bien combinées, sur des ombres prévues et largement prolongées; elles produiront les effets qui seuls peuvent étonner..." (Ibid., p. 90). "Que diroit-on d'un monstre qui n'auroit ni bras ni jambes? C'est ce que deviendrait l'Architecture dont on supprime les seuls effets que l'on puisse tirer des corps; des saillies bien combinées, des ombres portées, cet isolement enfin qui offre en tout sens le contraste des masses?" (Ibid., p. 28). "C'est la projection des masses, la saillie du corps qui donnent la caractère décidé..." (Ibid., p. 183). O ancora: "Etablissez de belles masses, préparez d'heureux contrastes..." (Ibid., p. 205).
205. "La forme d'un cube est le symbole de la Justice, on la représente sur une pierre carrée, prescrivant des peines pour les vices et des récompenses pour la vertu". Ibid., p.115.
206. Ibid., p. 184.
207. Ibid., p. 184.
208. "La forme d'un cube est le symbole de l'immuabilité; on asseoit les dieux, les héros, sur un cube...Voilà ce qui a déterminé la masse de cette élévation; la morale doit compter dans ses fastes un monument immuable: les Grecs appeloient un homme carré celui que l'on ne pouvoit jamais détourner de sa vertu ou de ses devoirs" (Ibid., p.184). Per l'architetto il cubo rappresentava dunque la forza, il diritto, la Giustizia, l'austera morale, l'ordine.
209. Ibid., p. 185.
210. Saboya M., op. cit., p. 140.
211. Ibid., p. 141.
212. Architecture, p. 178.
213. Saboya M., op. cit., p. 141.
214. Architecture, p. 194.
215. Cf. C. Norberg-Schulz, La signification dans l'Architecture occidentale, cit., p. 330.
216. Rabreau D., op. cit., p. 283.
217. Architecture, p. 203.
218. Starobinski J., L'invention de la liberté, 1700-1789, Ed. d'Art Skira, Genève, 1964, p. 205.
219. Ibid.
220. Deming M., de Vaulchier C., op. cit., p. 129.
221. Ibid., p. 103.
222. "On peut être vertueux ou vicieux, comme le caillou rude ou poli, par le frottement de ce qui nous entoure". Ibid., p. 3.
223. "Quand on bâtit une ville, quand on élève des monuments durables, le principe qui dirige l'artiste ne peut être indifférent; s'il est instruit, il appelle l'épuration des mœurs par des exemples qui frappent la multitude; il s'entoure de tous les moyens pour donner aux différents établissements qu'il conçoit, le caractère d'utilité qui honore le présent et perfectionne l'avenir..." Ibid., p. 184.
224. Ibid., p. 199.
225. Ibid., p. 216.
226. "Pour corriger un vice, les peintres valent mieux que les chanteurs des divins cantiques; il est des vices que la religion ne peut atteindre". Ibid., p. 99.
227. "... rival du dieu qui créa la masse ronde, il aura plus fait que lui, il aura dégrossi (l'homme)". Ibid., p. 103.
228. Ibid., p. 29.
229. Ibid.
230. E proprio di professione con una capacità e deontologia proprie, parla Ledoux. Facciamo rilevare infatti che egli distingue tra l'architecte e l'homme de métier, automate du créateur (p. 175): addirittura i delitti e gli outrages à l'humanité derivano dal fatto che gli architetti lasciano l'art de bâtir ai maçons, senza accorgersi che "l'Architecture est à la maçonnerie ce que la poésie est aux belles-lettres" (p. 15). D'altra parte, "l'art sans éloquence est comme l'amour sans virilité " (p. 17). Ancora a proposito dell'"homme de métier " Ledoux aggiunge che "il a beau s'exercer sur la matière, il ne conçoit rien au delà; il ne produit rien sans dépense matérielle; on peut le comparer à la femme qui accumule à grands frais des ornements hétérogènes pour déguiser des formes communes, tandis que la beauté plaît à tous les yeux et ne fait aucun frais pour plaire". Ibid., p. 113.
231. Ledoux in questo punto parla della sua personale esperienza in quanto costruttore della Salina di Arc et Senans, la quale doveva essere allo stesso tempo espressione della potenza monarchica e simbolo della comunità produttiva. L'architetto scelse, come abbiamo già anticipato, di costruire la fabbrica con tutta la magnificenza e i tributi architettonici degni di un palazzo reale o di un monumento ufficiale, contravvenendo alle regole stabilite dai tradizionali centri di elaborazione del gusto e della teoria architettonica e suscitando le ire in particolare di un invidioso Jacques-Ange Gabriel, che gridava allo scandalo e del maestro Blondel, che riteneva inadeguato l'utilizzo dell'ordine colossale per un impianto industriale, utilizzo che violava la regola della convenance che avrebbe invece dovuto reggere ogni architettura. Ledoux stesso fece dell'ironia sulla situazione scrivendo: "J'entends le professeur... crier après l'abus: il ouvre son perplexe rudiment, en retourne toutes les feuilles; il ne voit rien dans ces points donnés qui justifie l'écart. Les règles de la grammaire sont violées, tout est perdu...". (Ibid., p. 135).
232. "Dieu! Qui créas les mondes, tu vois avec complaisance s'embellir une partie de celui que tu nous as cédé ". Ibid., p. 1.
233. Ibid., p. 102.
234. Hugo V., Les misérables, Ed. Nelson, Paris-Londres, s.d., T. I, p. 46.
235. Architecture, p. 17.
236. Anche quando, infatti, l'autore prevede un ritorno delle arti nella città riedificata, esse hanno lo scopo di migliorare la vita dell'uomo.
237. Ibid., p. 2.
238. Ibid.
239. Ibid., p. 111.
240. Ibid.
241. Ibid.
242. Ibid.
243. Ibid., p. 214.
244. Baczko B., op. cit., p. 300.
245. Architecture, p. 214.
246. Ibid.
247. Ibid., p. 1.
248. Del Pesco D., "Entre projet et utopie: les écrits de la théorie architecturale 1789-1799", in AA., VV., Les Architectes de la liberté, 1789-1799, cit., p. 327.
249. Architecture, p. 6.
250. Ibid., pp. 79-80. Nel corso del XVIII secolo avviene un cambiamento nella considerazione della salute pubblica, e ci si avvicina sempre di più all'individuazione dell'oggetto popolazione (Guido Panseri, "La nascita della polizia medica: l'organizzazione sanitaria nei vari stati italiani", in Storia d'Italia, Scienza e Tecnica nella cultura e nella società dal Rinascimento a oggi, Einaudi, Torino, 1980, Annali 3, p. 190). In precedenza la salute pubblica era sostanzialemente e indissolubilmente legata alla salute del sovrano, al punto che, ad esempio, Bernardino Ramazzini nel De principum valetudine tuenda, commemoratio del 1710, svolge ancora il discorso in termini tradizionali, secondo i quali il sovrano è colui che agisce per il bene pubblico e la sua salute andrà tutelata poiché, in caso contrario, "a lungo non può più conservarsi la pubblica felicità" (in Opera omnia medica et physiologica, Genevae, 1716, cap. I, p. 703). Nel De morbis artificum diatriba, (1700), del medesimo autore, invece inizia ad essere focalizzato un altro problema, quello della non coincidenza totale tra salute del sovrano e salute pubblica: viene allora portato alla luce tutto un mondo sommerso di tecnici e bassi lavoratori, la cui attività manuale "sebbene vile e spregevole in apparenza, è sì necessaria e vantaggiosa per il benessere generale" (Ibid., Prefazione, p. 473), ed è giusto che la medicina allevii le sofferenze e soccorra anche questi uomini. Secondo Ledoux "pour la première fois l'art assemble les lois naturelles et compose un système social; il commande le bien-être dans toutes les situations, dans toutes les jouissances usuelles; il lie ses pouvoirs séducteurs aux droits innés de l'homme, l'industrie au luxe obligé qui développe les ressources des états; prenant toutes les formes pour donner toutes les impulsions, il force le riche d'accorder au pauvre le tribut honorable qu'on doit au travail ". (L'Architecture considérée sous le rapport de l'art, des mœurs et de la législation. Prospectus. Paris, 1803, p. 24).
251. Costruire degli edifici che non si addicono ad una società ideale, provoca nell'architetto un certo senso di impotenza: "Il faut en convenir, les constructions qui abritent les misères offrent de grandes difficultés pour l'exécution. Pourquoi? Les misères n'ont d'autres expressions que le silence et le cri concentré de la douleur; difficilement ils se font entendre; l'imagination qui conçoit le plan est saillie d'avance par les détails qu'elle présente à celui qui les examine" (Architecture, p. 167). A proposito di una maison d'un percepteur, Ledoux scriveva: "Un Architecte est bien embarrassé quand il est obligé de construire le repaire d'une sangsue gonflée de substances humaines... le génie est muet et sans action, il est circonscrit au milieu des fléaux communs qui l'étouffent... Ainsi, s'agite la pensée de l'Architecte, travaillée par des éléments discords... Elle n'a plus d'essor: la pureté inhérente à la culture des arts est incompatible avec les passions qui les avilissent. La dignité de l'architecte est avilie quand il est obligé de descendre les degrés du temple de la gloire pour tracer la demeure des hommes qui ont fomenté les maux communs ". Ibid., p. 174.
252. Ibid., p. 104.
253. Ibid., pp. 105-106.
254. Ibid., p. 106.
255. Ibid., p. 18.
256. Ibid., p. 119.
257. Ibid., p. 103.
258. "Voyez ce que l'art perd s'il manque l'occasion de servir la chose publique; voyez ce que la chose publique perd quand elle érige des monuments utiles et qu'elle les abandonne à l'insouciance qui perpétue ses désastres; elle ne peut s'associer à l'instruction des siècles, et par la réaction inévitable perd le moment de les faire revivre". Ibid., p. 77.
259. Non è necessario che si tratti di una democrazia, l'importante è che i sudditi siano felici; ricordiamo, a questo proposito, a chi il libro è dedicato: "A sa majesté, l'empereur de toutes les Russies [...], tous les peuples de la terre diront à l'Alexandre du Nord: Vous êtes un homme! puisque vous voulez bien accueillir un système social, qui contribuera au bonheur du genre humain". Gallet definisce Ledoux di un monarchisme modéré (Architecture de Ledoux, cit., p. 55): era iscritto al Club de Valois, ma sembra che in privato approvasse l'abolizione dei privilegi e la secolarizzazione dei beni della Chiesa. L'utopia di Ledoux, che Saboya definisce addirittura réactionnaire, in realtà, forse è solo borghese : tende a difendere i valori acquisiti della Rivoluzione (ma non gli estremismi), ma aderisce anche al Code Civil, che, promulgato nel 1804, sancisce, tra l'altro, la proprietà privata come diritto. Se Ledoux, inoltre, non si sbilancia troppo, è anche a causa del fatto che alla data della pubblicazione del libro, il 1804, Napoleone viene incoronato Empereur des Français, che ormai la fase propriamente rivoluzionaria in Francia è terminata e che la censura del nuovo regime iniziava a "mietere vittime illustri", tra le quali Madame de Staël e Chateaubriand.
260. Summerson J., op. cit., p. 168.
261. Architecture, p. 1. Non ci è possibile in questa sede menzionare tutti gli edifici, né tentare una classificazione, per la quale, invece, si rimanda a AA. VV., Actualité de C.-N. Ledoux. Son oeuvre en Franche-Comté. Les Salines Royales d'Arc et Senans, Fondation C.N. Ledoux, Arc et Senans, 1970, p. 25.
262. Architecture, p. 1.
263. Ibid., p. 101.
264. Ibid., p. 6.
265. Ibid., p. 64.
266. Ibid.
267. Ibid., p. 157.
268. Ibid.
269. Ibid.
270. Ibid.
271. Ibid., p. 158.
272. Ibid., p 157. Il mostro è colui che abbandona i figli e divorzia dalla moglie; Ledoux mantiene la proprietà privata, ma non accetta il divorzio che viene sancito dal Code : base della società felice rimane la famiglia con le sue solidarietà.
273. Ibid., p. 193
274. Ibid.
275. Ibid., p. 160
276. Ibid.
277. Ibid.
278. Ibid.
279. Ibid., p. 184.
280. "Sagesse..., la règle de Polyclète qui offre le modèle de la raison..., Justice, pèse les droits dans sa balance, là, elle récompense, plus loin elle punit, ... Tempérance..., Modération..., Continence..., Générosité..., Prodigalité..., Prudence...". Ibid., p. 185.
281. Ibid., p. 72.
282. Ibid., p. 115.
283. Ibid., p.114.
284. Ibid., p.117.
285. Ibid.
286. Ibid.
287. La monarchia aveva continuato a pubblicare editti contro il gioco d'azzardo durante tutto il XVIII secolo: dal 1717 al 1781 se ne contano una dozzina, la cui ripetizione indica anche la loro inefficacia. Alcuni pamphlets del tempo accusano la polizia di ricevere dei pots-de-vin per proteggere i tripots. Cf. Dunkley J., "Les jeux de hasard et la loi au XVIIIe siècle", Le jeu au XVIIIe siècle, Edisud, Aix-en-Province, 1976.
288. Architecture, p. 170.
289. Ibid., p. 172.
290. Forse anche dovere, visto che potrebbe essere considerato come un modo per tenere sotto controllo le passioni e per irreggimentare la società.
291. "Cinq concurrents se disputent le prix de la vélocité, une fille est du nombre; son élan dévore l'espace, et quoiqu'elle ne fût qu'au second rang, cette nouvelle Athalante obtient le prix". Ibid., p. 171. È curioso che Ledoux sia favorevole alle pari opportunità e addirittura dia preminenza alla donna anche da un punto di vista fisico, ma, come abbiamo notato a proposito del Temple de mémoire, egli non è nuovo a questo tipo di riflessioni. In quell'occasione, ricordiamolo, il nostro architetto si chiedeva perché non venerare il genere femminile come d'abitudine si venerarno i semi-dei, dal momento che la storia sollecita a porre le donne allo stesso livello degli uomini e constatava che, in tal caso, i mœurs publiques non avrebbero potuto che giovarsene. Inoltre, secondo l'autore, onorarne la memoria significava restituire loro ciò che esse hanno prestato agli uomini durante la vita; farne delle divinità, sull'esempio di Aristotele, significava tributare al sole che anima il mondo un culto riconoscente... In effetti, rifletteva ancora l'autore, "il nostro destino (degli uomini) non dipende forse dalle donne? Ai nostri fianchi dividono con noi le nostre fatiche, i nostri piaceri; esse coprono di fiori il difficile sentiero della vita". Dunque un'idea della donna non più solo come tradizionale fonte di ispirazione, generatrice di vita e esempio, ma anche partecipante attiva, competitiva e vincente nella realtà quotidiana. Di tono ben diverso sono le enunciazioni del suo contemporaneo Restiff de la Bretonne nel suo Les Gynographes ou idées de deux honnêtes femmes sur un projet de règlement proposé à toute l'Europe pour mettre les femmes à leur place et opérer le bonheur des deux sexes (1777). Il sottotitolo, che compare nella seconda pagina, differisce leggermente da quello appena riportato, aggiungendo che, rimettendo le donne al loro posto, si lavorerebbe efficacement à la réformation des mœurs. Soffermiamoci sull'art. III, che riguarda i rapporti tra i due sessi: III Manière de leur (aux filles) faire envisager le premier sexe. "Il faut de bonne heure inculquer aux jeunes filles qu'elles sont destinées pour l'homme, qui est le chef et le souverain de la société. En conséquence, le second sexe doit être élevé précisément comme ces jeunes seigneurs qu'on place auprès de l'héritier du trône; toutes les leçons de soumission et de déférence qu'on donne à ceux-ci conviennent à ceux-là; c'est le moyen d'établir la subordination, de maintenir l'harmonie sociale et de procurer le bonheur des deux sexes". Restiff de la Bretonne, Œuvres, T. III, p. 92.
292. Architecture, p. 172.
293. Ibid.
294. Ibid., p. 216.
295. Ibid., p. 215.
296. Ibid., p. 216.
297. Ibid., p. 215.
298. Ibid.
299. Ibid., p. 199.
300. Ibid., p. 202. In realtà da lontano sembra un tempio decorato da colonne, ed è solo la pianta che definisce esattamente la forma fallica.
301. Ibid.
302. Ibid., p. 148.
303. Ibid., p. 83.
304. Ibid.
305. Ibid.
306. Ibid.
307. Ibid.
308. Ibid., p. 181.
309. Ibid.
310. " [...] Les idées se croisent, se multiplient à raison des conceptions différentes, et comme les hommes qui ne sont pas encore atteints par la corruption, sont faciles à égarer quand on leur présente le mieux sous des apparences spécieuses, ils prennent l'art de raisonner pour la raison elle-même". Ibid.
311. Ibid.
312. A proposito della Polonia in cui cento mila nobili opprimono dieci milioni di servi, Ledoux commenta che solo "en reprenant leurs droits politiques... ils peuvent espérer un jour d'être une nation". Ibid., p. 182. L'idea sembra molto liberale, ma...
313. Ibid., p. 182.
314. Ibid., p. 114.
315. Ozouf M., op. cit., p. 313.
316. Architecture, p. 56.
317. Ibid.
318. Ibid.
319. "Les arts, redevenus nécessaires, reçoivent un nouvel élan;... la science et les talents du premier ordre sont accueillis, sont divinisés". Ibid.
320. Ibid.
321. Ledoux divideva il lusso in un lusso negativo, corruttore, "qui a l'initiative sur les passions destructives des mœurs austères", e un lusso positivo. Egli era contrario al lusso che definiva condamnable che era costituito, secondo i canoni estetici della sua maturità, da progetti architettonici assurdi e da decorazioni inutili.
322. Ozouf M., op. cit., p. 318.
323. Ibid.
324. Architecture, p. 77.
325. I progetti di Bentham saranno portati a maturazione solo negli anni 90.
326. Architecture, p. 69.
327. Citiamo, a titolo di esempio, il riscaldamento insufficiente, le correnti d'aria, o il numero ridotto di finestre nelle parti centrali degli edifici abitativi; spesso, infatti, l'architetto non aveva previsto "comme unique éclairage pour certaines pièces d'habitation que l'oeil de bœuf des urnes renversées décorant les façades" (Jouffre V.-N., op. cit., p. 34). Ad onor del vero, però, dobbiamo anche rilevare la presenza nel cortile della Salina di latrine, e dunque un senso pratico di igiene e primi comfort.
328. Prinet M., "Les ouvriers des anciennes salines franc-comtoises" in Les Annales Franc-comtoises, Besançon, 1897, p. 271.
329. L'umidità poteva raggiungere anche il 50 o 60 %.
330. Si trattava di un état des lieux, di un "acte qui consistait en un inventaire, établi contradictoirement entre le représentant du fermier sortant et ceux du fermier entrant en vue de fixer les obligations respectives, ceci sous l'autorité soit du juge visiteur des salines, soit du commissaire aux salines". Cf. Humbert R., "La saline de Chaux et la Ferme Générale", in Académie des Sciences Belles-lettres et Arts de Besançon, procès-verbaux et mémoires, vol. 190, 1994, p. 206.
331. Vidler A., L'espace des Lumières: Architecture et philosophie de Ledoux à Fourier, Ed. Picard, Paris, 1995, p. 180.
332. Stoloff B., L'affaire C.N. Ledoux, autopsie d'un mythe, Ed. Mardaga, Bruxelles, 1977, p. 71.
333. In effetti, le difficoltà della vita all'interno della Salina vengono liquidate abbastanza velocemente, come se gli operai venissero anestetizzati contro la fatica. I problemi legati al lavoro vengono annullati attraverso una serie di soluzioni nuove che si apparentano, per l'autore, con l'utopia. La nuit sulfureuse dei magazins des sels, il rougeoiement des tôles, il tintamarre dei forgerons sono neutralizzati, resi innocui dalle ouvertures che l'architetto ha previsto per far uscire i vapeurs maléfiques. E se è vero che, nonostante tutto, il lavoro costa ancora fatica, Ledoux ha sistemato i logements vicino al luogo di lavoro, pur garantendone l'alterità, l'isolamento, per evitare gli incendi e le sovrapposizioni nocive dal punto di vista psicologico, di lavoro e vita privata. Egli ha dotato gli edifici di un minimo di confort, secondo i parametri dell'epoca, di una certa quantità di aria, luce, acqua; ha permesso la ricreazione, le heureuses veillées attorno a focolari comuni; ha organizzato i loisirs nelle adiacenze delle abitazioni, ha previsto una migliore sussistenza dotando i lavoratori di jardins légumiers.
334. "Si les ouvriers de tous genres étaient associés aux recherches des hommes instruits, si les savants les appelaient à leurs discussions, voyez ce que la chose publique en gagnerait. Quel est l'ouvrier qui ne s'enflammera pas au récit des merveilles d'Archimède?". Architecture, p. 97.
335. Gallet M., Architecture de Ledoux, cit., p. 43. Le soluzioni apportate da Ledoux per modernizzare e democratizzare il teatro, in risposta alle critiche comuni rivolte da Rousseau e Mercier ai teatri tradizionali, innovano la materia: la salle de spectacle è prevista in modo che tutti possano vedere la scène, poiché, se è giusto che lo spettatore che paga un prezzo più alto possa vedere meglio e sia posizionato nell'avant-scène (scène et loge des commandants), è anche vero che tutti, avendo pagato, si assicurano un medesimo "droit de voir dans un rayon égal et d'être bien vus". La forma semicircolare, che, come abbiamo già detto, richiama il modello antico, sostituisce i tradizionali carrés longs e le formes rondes et ovales che privavano lo spettatore "des plaisirs [de la vue] que le demi-cercle assure" (Architecture, p. 224). Tale forma permette l'uguaglianza degli angles de vision e garantirà, ancora una volta, una égalité dans le nécessaire (Ozouf M., op. cit., p. 318). Ledoux, inoltre, cercò di provare il proprio civisme presentando il progetto di un nouvel Opéra, come testimonierebbe la lettera del 2 novembre 1789 indirizzata a Sauveur Mignard. Questo teatro de musique per i citoyens era situato, nei progetti di Ledoux, al posto dell'attuale rue de la Paix e la sistemazione dei suoi abords avrebbe implicato la soppressione di due conventi, dei Capucins e dei Jacobins. Mentre la Constituente manteneva l'apparenza precaria di una monarchia costituzionale, la statua equestre di Luigi XIV troneggiava in Place Vendôme. Il progetto era impressionante "par son ampleur et la magnificence de ses volumes" (Gallet M., Architecture de Ledoux, cit., p. 56); Ledoux, però, era già brûlé e la Commune di Parigi si rifiutò persino di esserne informata.
336. Rittaud-Hutinet J., La vision d'un futur: C.-N. Ledoux et ses théâtres, Ed. CERT, Ensemble Universitaire, Bron, 1982, p. 116.
337. Nelle due accezioni di mente dotata e di essere soprannaturale che può esaudire i desideri.
338. "Je remettrai sous les yeux les dépenses des constructions, des mutilations, les produits perdus, consentis, les conflits ministériels, les abus d'autorité, l'effroi des ames communes, l'importance des instruments choisis dans la turpitude pour lancer les traits aiguisés dans les cabinets subalternes et diriger la vengeance. On verra la nullité de ces amphibies désorganisateurs verbaliser sur le choix d'une borne, pour associer la multitude trompée et la race future à leur ressentiment. Ils dresseront des tréteaux dans les carrefours pour monter, au son des clairons, des phantômes économiques qui dépensent pour détruire". Ibid., p. 18.
339. "Le croira-t-on? On verra des criminels d'état livrés dans l'arène à la férocité de bêtes pour avoir assemblé sous des formes monumentales, des besoins publics dégénérés par l'opinion". Ibid. Ledoux fa riferimento in questo passo alla percezione delle Barrières e di se medesimo all'epoca degli eventi rivoluzionari.
340. Ibid., p. 188.
341. Ibid., p. 132.
342. A proposito di un Capucin che voleva da lui un'offerta commenta: "Est-il possible qu'ils abreuvent leur inertie des sueurs du genre humain? le fou s'appuie sur des mots vides de sens, pour bâtir sur un sable mouvant, le rempart qui fortifie ses égarements". Ibid., p. 62.
343. Ibid., p. 236.
344. "Il est naturel à l'homme de souhaiter d'être heureux; difficilement il trouve le bien qu'il cherche; inquiet sur ce qu'il n'a pas, rarement il est satisfait de ce qu'il possède: le solitaire regrette de n'avoir pas un état agité; le courtisan soupire après le repos; celui qui possède à la ville le modeste toit de ses ancêtres, le détruit pour bâtir un palais fastueux. D'où ses créanciers le chassent avant qu'il soit couvert. Le bien et le mal se trouvent par-tout; le vrai bonheur n'est donc nulle part". Ibid., p. 181.
345. Nel paese del vizio, (forse la Francia di un certo periodo storico) "la philosophie qui épure les mœurs, dans ce pays produit tout le contraire" (Ibid., p. 55). In realtà la polemica sulla philosophie è molto più complessa. Sentiamo le parole di Voltaire a tal proposito: "[...] on vit alors que s'il y a de grands crimes sur la terre, il y a autant de vertus; et que si la superstition produit d'horribles malheurs, la philosophie les répare". Altrove ancora: "[...] je n'ai donc fait, dans les horribles désastres des Calas et des Sirven, que ce que font les hommes; j'ai suivi mon penchant. Celui d'un philosophe n'est pas de plaindre les malheureux, c'est de les servir. Je sais avec quelle fureur le fanatisme s'élève contre la philosophie. Elle a deux filles qu'il conviendrait de faire périr comme Calas, ce sont la Vérité et la Tolérance; tandis que la philosophie ne veut que désarmer les enfants du fanatisme, le Mensonge et la Persécution". Voltaire, Lettres de Voltaire, Librairie Plon, Paris, 1947, pp. 55 e 58.
346. Architecture, p. 236.
347. Ibid., p. 48.
348. Ibid., p. 36.
349. Ibid., p. 33.
350. Ibid., p. 39.
351. Ibid., p. 19.
352. L'appellativo ne evoca uno simile adottato da Verne ne Le Maître du monde.
353. Ricordiamo qualche repère chronologique : è dell'agosto 1791 la dichiarazione di Pillnits che Austria e Prussia firmano congiuntamente per invitare i monarchi europei a ristabilire l'ordine in Francia e nell'aprile 1792 la Francia dichiara guerra all'Austria. La campagna d'Italia si svolge tra il 1796 e il 1797; quella d'Egitto tra il 1798-1799. Ed è dal 1799 che la république française è guidata da Napoleone, che si farà incoronare nel 1804.
354 "En administrant mal il n'a qu'un ennemi, au lieu qu'il a pour ennemi le monde entier qui redoute son influence tyrannique et va le corriger". Architecture, p. 237.
355. Ibid., p. 240.
356. Ibid., p. 33.
357. Ibid., p. 239.
358. Ibid., p. 114.
 
 
 
 

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